26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00

 

Alain Paucard  

 

Alain Paucard est écrivain. II est né et ne vit qu’à Paris. Président à vie du Club des Ronchons, qui se propose "d’étudier l’horreur du bonheur" et dont la devise est "en arrière toute !", il a publié à ce jour vingt ouvrages : pamphlets (Les Criminels du béton ; Le Cauchemar des vacances ; La Crétinisation par la culture), essai (Éloge de la faiblesse), mémoires (Le Roman de Paris) et fictions (Lazaret ; Le Roi créole)

 

[source: http://www.conflits-actuels.com/article.php3?id_article=33 ]

 


 

Alain Paucard est né le 6 avril 1945, de parents connus, dans la coquette localité de Paris Xe. Il est donc de nationalité parisienne. Ancien élève des écoles primaires du VIIe, il se désintéresse très vite des études pour devenir, successivement, à partir de 1962 : chanteur de rock n’roll, appelé du contingent (dans le XVe-1965), chanteur de folk, chanteur rive-gauche, libraire, auteur de romans érotiques (1970), révolutionnaire professionnel (mal payé, y compris de retour -- 1970-1972), travailleur social et, à partir de 1978, écrivain. Il publie d’abord des « polars » sous le pseudonyme farceur de Humphrey Paucard (dont L’horreur d’été, 1979, qui eut droit aux « trois interdictions »). Également chroniqueur à Métal Hurlant, Lui, etc. (1978-82), scénariste de bandes-dessinées (notamment avec Denis Sire), il publie régulièrement depuis 1983.

En 1986, il fonde le club des ronchons, dont la devise est « En arrière, toute ! »; l’objet : « étudier l’horreur du bonheur » et dont les réunions sont interdites « aux femmes, aux enfants, aux animaux et aux plantes vertes ». À ce jour le club des ronchons a publié 7 ouvrages collectifs.

Depuis 1998, il dirige de nombreuses émissions sur Radio Courtoisie.

« À l'aube du XXIème siècle », Alain Paucard compte bien persévérer dans son être. Dans une époque de blague, les gens sérieux sont des blagueurs et les blagueurs, comme lui, sont les seuls gens sérieux. Qu’on en juge :

 

Ma vie secrète par Joseph Staline, Baudouin, 1979.
Guide Paucard des filles de Paris, Pauvert / Garnier, 1983 ; Pauvert / Carrère, 1985.
Carnets d’un obsédé, Julliard / L’Âge d’Homme, 1984.
Gripari mode d’emploi, entretien avec Pierre Gripari, L’Âge d’Homme, 1985.
Lazaret, L’Âge d’Homme, 1986, ouvrage couronné par l’Académie française.
Petit manuel du séducteur en campagne, Balland, 1987.
Éloge de la faiblesse, Robert Laffont, 1988, ouvrage couronné par l’Académie française.
Célébration du whisky, collection Renaudot et Cie, Le Rocher, 1988.
Dictionnaire des idées obligées, Le Dilettante, 1990.
De la mysogynie considérée comme un des beaux arts, Acropole, 1990.
Les Criminels du béton, Les Belles Lettres, 1991.
Supplique à Gorbatchev pour la réhabilitation de Staline, Le Dilettante, 1991.
Le Cauchemar des vacances, L’Âge d’Homme, 1993.
Un jour tu me remercieras, trente-cinq lettres de rupture (en collaboration avec Louise Leblanc), Stanké, Montréal, 1993.
Le Roman de Paris, collection Renaudot et Cie, Le Rocher, 1993.
Défense de la série B, L’Âge d’Homme, 1995.
Paris la ballade, photographies de Louis Monier, L’Âge d’Homme, 1997.
Dutourd l’incorrigible, Flammarion, 1997.
La Crétinisation par la culture, L’Âge d’Homme, 1998.
Le Roi créole, L’Âge d’Homme, 1999.
Tirez sur l’architecte, L’Âge d’Homme, 2000.
Paris, ses rues, ses chansons, ses poèmes, Éditions Molière, 2000 ; 7ème Prix des Bouquinistes.
La France de Michel Audiard, L’Âge d’Homme, 2000 ; prix Simone Genevois 2001.
 

[source: http://www.ledilettante.com/index.php?menu=fiche_aut&id=1057 ]

 


 

 

Spritituellement, il se déclare marcioniste
http://fr.wikipedia.org/wiki/Marcion


 

 
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26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00


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Un historien des mondes germaniques

Jean-Paul Bled est professeur d’Histoire contemporaine à l’université Paris IV-Sorbonne et directeur du Centre d’études germaniques de Strasbourg. Il dirige La revue d’Allemagne, les Études danubiennes et la Revue d’Europe centrale. II a notamment publié François-Joseph (Fayard, 1987), Rodolphe et Mayerling (Fayard, 1989), Les lys en exil ou la seconde mort de l'Ancien régime (Fayard, 1992), Histoire de Vienne (Fayard, 1998) et Une étrange défaite : le piège de Maastricht (F-X de Gibert, 1998).

 

Un homme politique

Gaulliste et ancien chiraquien, Jean-Paul Bled est aujourd'hui président du Rassemblement pour l'Indépendance de la France Souveraine, où il mêle ses efforts avec ceux du plus médiatique Paul-Marie Coûteaux.

Jean-Paul Bled est le fils d'Edouard Bled, le père du célèbre manuel d'orthographe.

Sa première émission a eu lieu le 28 juillet 2003

 

 

Rassemblement pour l'Indépendance et la souveraineté de la France
http://www.r-i-f.org

 

Le centre d'Étude germanique de Strasbourg
http://www-ihee.u-strasbg.fr/ceg.htm

 

Parmi ses publications :

 

Marie-Thérèse d'Autriche (Fayard, 2001)

Religion et culture dans les sociétés et les États européen (1800-1914) (Sedes, 2001)

La souveraineté nationale (F-X. de Guibert, 1999) : actes du colloque des États-généraux de la souveraineté nationale d'Ormesson-sur-Marne (1998), un recueil de pamphlets anti-européens de tout ce que la droite compte d'auteurs hostiles à la construction européenne. Sous la direction de Jean-Paul Bled Alain Bournazel, Christophe Réveillard, préface de Pierre-Marie Gallois.

La démocratie aux États-Unis et en Europe, 1918-1989 (Sedes, 1999) ouvrage collectif portant, outre les États-Unis, sur l'Allemagne, l'Espagne, la France, l'Italie, le Royaume-Uni.

Histoire de Vienne (Fayard, 1998) Une vision un peu nostalgique et assez conservatrice de la grande ville d'Europe centrale.

Une étrange défaite, le piège de Maastricht : lettre ouverte d'un gaulliste à Jacques Chirac (F-X. de Guibert,1998) : un violent pamphlet anti-Maastricht sous couvert d'analyse politique.

Les fondements du conservatisme autrichien 1859-1879 (Publications de la Sorbonne, 1995) : Le conservatisme revêt en Autriche des formes originales qui tiennent à la spécificité de l'ensemble Habsbourgeois. Centré sur vingt années cruciales (1859-1879) l'auteur propose une analyse globale comme phénomène idéologique, politique et sociologique.

Les lys en exil, ou, La seconde mort de l'Ancien Régime (Fayard, 1992) : La suite et la fin de l'histoire de la famille des Bourbons, en France, après la Révolution de 1789 (à propos de ce livre)

Rodolphe et Mayerling (Fayard, 1989)

François-Joseph (Fayard, 1987)

 

[sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Bled et http://www.bibliomonde.com/pages/fiche-auteur.php3?id_auteur=328 ]

 


 

 

Libre Journal du lundi midi, toutes les 4 semaines

 

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26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00


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Jean-Yves Dournon est lexicographe. Il a travaillé, entre autres, dans le monde de l'imprimerie et de l'édition, et particulièrement chez Hachette pendant 40 ans.

Sa première émission sur Radio Courtoisie à eu lieu le 17 mai 1991.

 

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26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00

 

 

Aude de KERROS

Aude de Kerros est diplômée de l'Institut d'études politique de Paris et d'une maîtrise en droit.
Elle a toutefois choisit sa vocation d'artiste (peintre, graveur et critique d'art). Elle fût l'élève des artistes Henri Goetz, J. Friedlander, S.W. Hayter et fréquenta également Decaris, Delpech, Jacquemin et Trémois.

En 1988, elle est lauréat de l'Institut de France, pour le Prix Paul Louis Weiller pour la Gravure.
En 1989, certaines de ses oeuvres sont acquises par le National Museum of Womenin the Arts (Washington, USA)
En 1990, elle participe à l'Exposition de Bonnard à Baselitz - Dix ans d'Enrichissements du Cabinet des Estampes de la Bibliothèque Nationale (Paris).

Elle est la fondatrice avec Dominique Leverd et Daniel Courant du Festival de France de Fontevraud (Festival de spectacles se déroulant dans des monuments historiques)

Elle se fera connaître pour son œuvre (gravures et peintures) à travers plus de soixante-dix expositions en France et à l'étranger menées entre 1976 et 1999. Elle a notamment exposé ses oeuvres à plusieurs reprises (1997, 2000, 2002) à la galerie Mouvances à Paris (sculpture et peinture contemporaine - 2, place des Vosges - 75004 PARIS - Tél :01 40 27 98 12 - Fax : 01 40 27 88 42)

Elle a ainsi créé plus de quatre cents œuvres. L'œuvre gravé d'Aude de Kerros fait aujourd'hui partie de nombreuses collections privées et publiques en Europe et aux Etats-Unis.

En 2004, elle expose sa dernière série d'eaux fortes "Un Art d'Aimer" aux Journaux Officiels, sept séries de gravures constituent un grand Cycle entre Genèse et Apocalypse.
( D'une œuvre à l'autre, c'est une pensée en images qui prend forme grâce à la médiation du métier et de la main. Hantée par la recherche d'une lumière de contre-jour, surgissant de l'intérieur, Aude de Kerros a pris le parti de graver profondément ses plaques. Elle peut ainsi superposer trois encres de couleur, plus ou moins chargées d'huile, afin d'obtenir transparences et glacis. La plaque est ensuite imprimée en un seul passage sous la presse.
"Un Art d'Aimer" met en scène les drames, périls, métamorphoses et triomphes de l'amour qui ressemblent à s'y méprendre aux mystérieux processus de la création, si familiers aux artistes.)

Aude de Kerros a publié de nombreux articles sur l'art contemporain, dans diverses revues : Catholica, Conflits Actuels, France Catholique, l'Univers des Arts ...
Elle a également publié "Journal d'un Hors-l'Histoire ou Les artistes et l'art contemporain".
Aude de Kerros donne aussi de nombreuses conférences sur des sujets artistiques ou mêlant arts et spiritualité ou religion.

Elle s'est particulièrement intéressées au poète Maurice COURANT dont elle a illustré certaines poésies.
"Tous les Poèmes de Maurice COURANT me sont apparus comme des Poèmes d'Amour et de Soif, tendus à l'extrême. Seules les formes organiques et fortement contrapointées peuvent exprimer pour moi cette attraction folle de l'Amour, cette nostalgie de la lumière, si propre au Poète. Maurice COURANT écrit une poésie torrentielle, son élément naturel est l'eau. C'est un poète de l'âme, du reflet et du miroir. Il nous fait voir le monde 'in speculum per enigmate'." écrit t'elle.

SITE PERSONNEL
http://www.audedekerros.com


WEB-GALERIE D'OEUVRES
http://www.galeriemouvances.com/peintres_DeKerros1.asp


CITATION
"Le Graveur ou le Peintre qui veut faire oeuvre d'illustration doit s'intéresser davantage à la forme, au rythme, à l'impression d'ombre et de lumière qui se dégage du Poème qu'à sa richesse même d'images.
Si l'on se "coule" ainsi dans la forme du poème, son contenu surgit de lui-même, transparent.
La Résonnance picturale d'un Poème s'organise en l'esprit du créateur à la manière même d'un générique. C'est une sorte de raccourci visuel des rythmes et des sonorités du Poème ; comme une "image" émotive et sensible de l'oeuvre."
Aude de KERROS

BIBLIOGRAPHIE

"Les Echelles du Ciel, les voies de l'extase", Editions du Savoir Perdu (2001)

Vivant dans un milieu d'artistes, Aude de Kerros a assisté, depuis 20 ans, à un retour du sacré. "Il n'implique d'ailleurs pas toujours l'idée d'une conversion ou d'une foi, mais la recherche d'une source d'énergie pour les êtres qui sont souvent au pied du mur de la création".

Ce livre donne un ensemble de connaissances générales permettant de comprendre la nature de l'expérience mystique, ce qu'elle a d'universel et de permanent dans l'Histoire des hommes.
Il s'attache aussi à faire la comparaison des expériences mystiques des différentes religions et traditions, et répond ainsi à un besoin nouveau de discernement et de compréhension, alors même que chacun a l'occasion de rencontrer d'autres traditions quotidiennement.
En ce temps de recherche spirituelle, de surabondance de publications sur ces sujets, alors même que l'enseignement religieux n'est plus transmis naturellement, une culture générale s'impose à celui qui poursuit une quête.
L'extase est l'expérience de la vie mystique, la plus radicale et la plus mystérieuse. L'exploration de ce sommet éclaire bien des interrogations qui ne manquent pas de surgir dans chaque itinéraire spirituel.

Ce livre ne s'adresse pas seulement aux chrétiens, mais surtout "à tous ces moines errants et en quête de spiritualité que je rencontre quotidiennement.... Je m'imaginais qu'ainsi ils pourraient enfin apercevoir le christianisme qu'ils ont sous les yeux mais ne voient pas", nous dit Aude de Kerros.

Le mérite de cet ouvrage est de mettre en évidence l'exigence extrême que toutes les religions traditionnelles requièrent et de signifier en même temps en quoi elles n'ont rien à voir avec le New Age. Il décrit avec précision ce qui éloigne de façon rédhibitoire "l'activisme mystique " avec ce qu'elle appelle "la démarche mystique traditionnelle".

 

[source: http://courtoisie.forumactif.com/viewtopic.forum?t=56 ]

 


 

 

 

Elève de Henri Goetz, J. Friedlander, S.W. Hayter.

1988 - Lauréat de l'Institut de France, Prix Paul Louis Weiller pour la Gravure.
1989 - Œuvres acquises par le National Museum of Womenin the Arts (Waschington, USA)
1990 - Participe à l'Exposition de Bonnard à Baselitz - Dix ans d'Enrichissements du Cabinet des Estampes de la Bibliothèque Nationale (Paris).
1976 - 1999 : 70 expositions Personnelles.
Juin 1997 - Exposition personnelle à la Galerie Mouvances.
2000 - Exposition personnelle à la galerie Mouvances
2002 - Exposition personnelle à la galerie Mouvances

http://www.galeriemouvances.com/peintres_DeKerros1.asp

 

[source : http://www.galeriemouvances.com/peintres_DeKerros-pop.asp ]


 

 

Aude de Kerros est diplômée de l’Institut d’études politique de Paris et d’une maîtrise en droit. Elle choisit sa vocation d’artiste. Elle se fera connaître pour son œuvre gravé et peint à travers plus de soixante-dix expositions en France et à l’étranger. Lauréate de l’Institut de France (Prix Paul Louis Weiller pour la gravure - 1988). Elle fut la fondatrice avec Dominique Leverd et Daniel Courant du Festival de France de Fontevraud. Elle est l’auteur de Les échelles du Ciel ( 2001) et de nombreux articles sur l’art contemporain. Elle va prochainement publier Journal d’un Hors-l’Histoire ou Les artistes et l’art contemporain.

 

[source : http://www.conflits-actuels.com/article.php3?id_article=9 ]


 

Libre Journal du jeudi midi, une fois par mois

 

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26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00

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Après de brillantes études d'histoire à la Sorbonne, Dominique Paoli est devenue journaliste. Elle a collaboré durant vingt ans au magazine "Point de Vue / Images du Monde", où elle a dirigé le service historique. Elle écrit actuellement dans plusieurs journaux spécialisés.

Elle s'est associée à Anne Collin (professeur d'histoire, mère de famille nombreuse, et ancienne assistante de Jean Ferré dans les premières années de Radio Courtoisie) pour diriger un libre-journal essentiellement consacré à l'histoire (des têtes couronnées). Anne Collin avait commencé à diriger seule ce libre-journal du jeudi soir, une semaine sur quatre.
Le caractère historique de leur libre-journal est mis en exergue par son générique tiré de l'opéra les "Indes Galantes" de Jean-Philippe Rameau.

En 2004, suite à la démission de Pierre Chaunu pour raison de santé (il dirigeait le livre du jour les "mardis de la mémoire", émission hebdomadaire d'une heure également historique), Anne Collin et Dominique Paoli ont pris sa suite sur proposition de Jean Ferré (libérant ainsi un créneau le jeudi soir pour le libre-journal de Bernard Lugan) en conservant le titre de l'émission (mais pas l'ancien générique, tiré des suites pour violoncelle de J.S. Bach)

Dominique Paoli défend la royauté et souhaite la restauration du trône de France. Elle est une admiratrice inconditionnelle de Charles Maurras, dont elle connaît l'œuvre et la pensée sur le bout des doigts et dont elle fréquente les descendants (Nicole et Jacques(+) Maurras). Elle ne manque par ailleurs jamais l'hommage annuel rendu à Maurras, en Provence (auquel assistait fidèlement le regretté Jean-Marc Varaut, avocat royaliste).

Dominique Paoli se bat également pour la reconstruction du Chateau des Tuileries, en bordure du jardin éponyme. Le château des Tuileries a été incendié dans la nuit du 23 au 24 mai 1871 par les troupes insurgées de la Commune. Le malheureux château était gravement ravagé, mais pas anéanti. En 1882, la chambre des députés a voté la démolition des ruines de ce château, qui refermait les 2 branches du Louvre.
http://napoleontrois.free.fr/tuileries.htm
Les auditeurs de Radio-Courtoisie ont été tellement nombreux à téléphoner pour témoigner leur soutien lors de l'émission de 90 minutes qu'elle a consacré à ce sujet, qu'il a été décidé de créer une nouvelle rubrique périodique dénommée "chronique des Tuileries" dans laquelle les auditeurs seront tenus au courant des avancées du projet.

Notre charmante historienne n'hésite pas non plus à s'engager pour des causes contemporaines et dramatiques. Ainsi, son nom figure sur la pétition du Collectif "Non à la Guerre", qui dénonce l'agression de la Serbie du 24 mars 1999, par un bombardement effectué par une coalition militaire sous direction de l'Otan, à laquelle participait l'armée française sur décision du gouvernement (le parlement n'ayant pas été consulté).

Dominique Paoli est également vice-présidente de l'œuvre des Saints Anges


BIBLIOGRAPHIE

"Henriette, Duchesse de Vendôme", Editions Racine (11/2000)
"Sophie-Charlotte, Duchesse d'Alençon", Editions Racine (04/1999)

"Fortunes et infortunes des princes d’Orléans", Editions Artena (04/2006)
"Clémentine Princesse Napoléon 1872-1955", Editions Duculot (01/1994)

"Maxime ou le secret du Général Weygand", Editions Racine (11/2003)
"Au-delà du mythe" (1995),
complété par : "Il y a cent ans, l'incendie du Bazar de la Charité" (1997)

"Nicolas II et sa famille", Editions Flammarion (en collaboration avec Cyrille Boulay)


CITATION

"Il faudrait à la France une Jeanne d'Arc et un Charles Martel"

 


 

 

Livre du Jour chaque mardi à 10h45

 

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26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00

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Officier de la Légion d'Honneur
Commandeur de l'Ordre National du Mérite

 

Élu membre de l’Académie des Beaux-Arts, le 29 juin 1977, au fauteuil de Jean CARLU
Président de l’Académie des Beaux-Arts en 1998

 

Lauréat du Salon des Artistes Français.
Médaille d'or de la Société des Architectes.
Médaille d'argent du Mérite Européen.

 

Biographie

Christian Langlois est né en 1924. Après des études à l'École nationale supérieure des Beaux-Arts (1945-1951), il obtient son diplôme d’architecte diplômé par le Gouvernement en 1949 et devient en 1951 Logiste du Concours de Rome. Il effectue l'essentiel de sa carrière en tant qu'Architecte attaché au Sénat : en 1957, il est Architecte adjoint du Sénat (Palais du Luxembourg) ; en 1965 il devient l'Architecte en chef du site et Conseiller du Sénat pour l'Architecture et les Beaux-Arts.
Inspirée par la pureté des lignes que surent inventer Grecs et Romains, l’architecture de Christian Langlois associe l’harmonie à une certaine sobriété dorique. En outre, il ne saurait concevoir l’architecture sans l’apport des autres arts plastiques ; c’est ainsi que peintres, mosaïstes, sculpteurs, sont avec lui associés à une même entreprise dont on peut citer les succès : l’immeuble à arcades de la rue de Vaugirard, à Paris, face au Palais du Luxembourg, bien connu des citadins avec son petit pont de pierre enjambant la rue Garancière ; l’agrandissement et l’aménagement du Palais du Luxembourg (siège du Sénat) ; la Préfecture de Nancy, aux abords de la Place Stanislas ; la reconstruction du centre d’Orléans, œuvre colossale (Conseil régional, nouvel Hôtel de Ville, Musée des Beaux-Arts, nouveau Parvis de la Cathédrale, nouvelle Bibliothèque).
Christian Langlois a occupé diverses fonctions liées à l'Art : en 1988, il est Vice-Président du Syndicat de la Presse Artistique Française ; en 1985, il devient Président du Conseil d'Administration du Musée Henner à Paris, ainsi que Président de la Société Historique du VIème arrondissement de Paris ; de 1990 à 1994 il occupe le siège de Président de la Maison des Artistes. Parallèlement à ses activités, il est depuis 1976 Membre de l'Académie d'Architecture puis Membre de l'Académie Européenne des Sciences, des Arts et des Lettres de Madrid, dont il sera le Vice-président en 1993.

Christian Langlois définit ainsi sa conception du grand Art : "Contrairement à l’architecture dite "d’accompagnement" qui cherche à se faire oublier, et à l’architecture de "rupture" qui cherche à se faire remarquer à tout prix, mon architecture a pour fin de se faire aimer et admirer. Qu’on n’accuse pas mon art de concession, car ce serait du même coup condamner Molière, pour qui la règle des règles était de plaire, d’abord au peuple, aux hommes de cour ensuite, mais seulement à ceux dont le goût était affiné et non point aux pédants ou aux doctes. L’originalité vient pour moi non de la soumission à des techniques ou du recours systématique au "jamais vu", mais de combinaisons nouvelles d’éléments éternels parfaitement adaptés par leur morphologie à la nature humaine."

 

Principales réalisations

- 1955-1957. En association avec Urbain Cassan, Parc départemental des Sports (Choisy-Le-Roi, Val-de-Marne).
- 1963. Immeuble d'habitations de standing à Neuilly-sur-Seine (53, rue Charles Lafitte, Hauts-de- Seine).
- 1970-1971. Stationnement souterrain sous le jardin du Luxembourg ; Salle Médicis et foyer souterrain du Sénat.
- 1971-1972. Aire de Grands Jeux (Choisy-Le-Roi).
- 1973-1974. Création de deux patios le long de l'allée de l'Odéon, Palais du Sénat.
- 1974. Amènagement de quatre sous-sols sous la cour d'honneur du Sénat ; Ensemble administratif du Sénat, immeubles (26-36, rue de Vaugirard et 15, rue Garancière).
- 1977. Immeuble d'habitations à Paris (14, rue des Meuniers).
- 1980-1988. Amènagement de la Place de la Cathédrale à Orléans (Loiret) : Conseil Régional, nouvel Hôtel de Ville, Musée des Beaux-Arts, nouveau parvis de la Cathédrale, nouvelle bibliothèque.
- 1985-1988. Nouvelle préfecture de Nancy (Meurthe-et-Moselle).
- 1986-1988. Maison du Département de la Manche (Saint-Lô). Hôtel de Région (Limoges, Haute-Vienne).
- 1988-1989. Doublement du Pont de Bercy (paris).

Principales publications

- Art et Architecture, Bibliothèque du Sénat, Paris,1977.
- L'évolution de l'art : crise ou mutation?, in Paradoxes n°33-34, Paris,1979.
- De l'architecture d'accompagnement au pastiche, in Revue des Monuments historiques, octobre 1979.
- Patrimoine et création : où va l'architecture ?, publications de l'Institut de France, 1980.
- Y-a-t-il un nombre d'or ?, publications de l'Institut de France, le 28 avril 1982, n°13, 42p.
- Christian Langlois: Immeuble à arcades, rue de Vaugirard, Archives d'architecture moderne, n°22, Paris.
- L'art, la culture et l'Europe, Journal du Parlement, Paris, 1984.
- Pour une culture rayonnante, in Le Figaro, Paris, 1985.
- Aube l'ailleurs, Paris, 1985.
- Le Papyrus de Ramsès II, Paris, 1985.
- Pour une véritable culture, édition à compte d'auteur, 1985.
- La Symphonie des nouveaux monstres. s.l.s.d., 1986.
- Y-a-t-il un avenir pour la beauté?, publications de l'Institut de France, 1990.
- Les Nouvelles Hybrides, Paris, 1994.
- La Complémentarité des formations normaliennes et artistiques, publications de l'Institut de France, 1994.

[source: http://www.academie-des-beaux-arts.fr/membres/actuel/architecture/Langlois/fiche.htm ]


 

 

Libre Journal du mardi midi, toutes les 4 semaines 

 
catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00
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26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00

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Anne Collin est professeur d'Histoire et mère de famille nombreuse (6 enfants).


 

Livre du Jour chaque mardi midi, en collaboration avec Dominique Paoli

 
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26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00


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Né le 12 mars 1935 à Auxerre (Bourgogne), diplômé d'études supérieures et agrégatif d'allemand, ancien élève de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris et de l'ENA (Ecole Nationale d’Administration), Albert SALON s’est impliqué très tôt dans l’action et l’étude de la francophonie. Ainsi, en 1981, il choisit « l’action culturelle de la France dans le monde » comme sujet de sa thèse de doctorat d'Etat ès Lettres, soutenue en Sorbonne.

Sa carrière de diplomate le mena notamment d’Australie en Allemagne, de Québec à Maurice et en Jamaïque... où il assuma tour à tour les charges de Chef de mission de coopération, conseiller culturel, Directeur chargé de la Francophonie, Ambassadeur ministre plénipotentiaire... Après une vie professionnelle débordante d’activité, Son Excellence Albert Salon aurait pu se contenter d’une retraite bien méritée, en avril 2001. Mais, Bourguignon tenace, militant inlassable, il transpose alors sa formidable énergie au service de la militance associative en faveur de la Francophonie.

Ainsi Albert Salon est-il aujourd’hui plus que jamais l’incontournable animateur de nombreuses associations : Administrateur d’« Amitiés francophones », de « France-Wallonie-Bruxelles », du « Comité France-Maurice » et du Cercle Richelieu-Senghor de Paris ; membre des Amitiés Acadiennes depuis 1979, de la Société des Amis de l'Académie des Sciences d'Outre-Mer, de « Défense de la langue française », de l’« Association France-Maurice », de l'ADELF (écrivains) depuis 1984 ; fondateur en 1992 et Président « d'Avenir de la langue française » ; Président-fondateur du « FFI-France » (Forum Francophone international, depuis 2001).

Parallèlement, Albert Salon continue à publier des ouvrages dédiés à l’illustration et à la promotion de la Francophonie. Ainsi, « Les défis de la Francophonie » (Alpharès Max Milo, Paris 2002) et « Alerte francophone » (Arnaud Franel, Paris 2004), s’inscrivent-ils dans la continuité de ses précédentes publications : l'essai « Quelle Francophonie pour le XXIème siècle ? » (Karthala, 1997), qui lui vaut prix Charles Hélou ; « l'Atlas historique de la langue française » (Bordas 1994) ; « L'action culturelle de la France dans le monde » (Nathan 1983) ; « Vocabulaire critique des relations culturelles internationales » (CILF -1978) ; « La politique culturelle de la République Fédérale d'Allemagne à l'étranger » (Doc. fr. 1970)...

Albert Salon est aussi un conférencier reconnu et invité dans les grandes écoles et universités françaises et internationales où – c’est sa coquetterie – il aime à marier les langues pour converser avec ses hôtes. Car ce grand Francophone est aussi un talentueux polyglotte : allemand, anglais, espagnol, italien et portugais... et un bon zeste de russe n’ont plus guère de secrets pour lui.

Albert Salon est détenteur de plusieurs disctinctions honorifiques françaises et internationales : chevalier de la Légion d’Honneur (1992), chevalier des Arts et Lettres (1995), chevalier de l’Ordre de la Pléïade (au titre de la Francophonie, 1996) ; chevalier des Palmes académiques (1976) ; titulaire de la Bundesverdienstkreuz am Band (Mérite allemand – 1969) , officier de l’Ordre National du Bénin (1996) ; Commandeur de l’Ordre national du Mérite (10 janvier 2006)

 

[source : http://www.voxlatina.com/vox_dsp2.php3?art=1915]

 

Avenir de la Langue Française
http://www.avenirlanguefrancaise.org

 

Forum Francophone International
http://www.voxlatina.com/vox_dsp2.php3?art=922

 

courriel (sous toute réserve) : albertsalonnoos.fr

 


 

 

Il a présenté une fois sur deux le Livre du Jour «Langue française, joyau de notre patrimoine» le lundi, émission créée par Jacques Lacant (premier prix Daudet, en 1997). A partir du 11 décembre 2006, le Livre du Jour qu'il anime prend son nom, et le sous-titre devient «Le français en partage».

 

catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00

 

 

 

cf. http://radiocourtoisie.leforum.eu/t48-Henry-de-Lesquen.htm et http://fr.wikipedia.org/wiki/Henry_de_Lesquen


 

 
 

Libre Journal du lundi 18h, chaque semaine

 

catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00

présentation temporaire

 




et en 1977...




Philippe de Saint Robert est né en 1934.

Après le décès de Jean de Beer (1994 ?), il reprend son libre-journal auquel il participait assidûment (en gardant le générique). (Jean de Beer était assisté par la charmante Anne Wilkinson, décédée en 199? des suites d’une longue maladie).

Il invite régulièrement dans son libre-journal Paul-Marie Coûteaux, député français au parlement européen, qui fut son directeur de cabinet de 1984 à 1988.

Ecrivain, spécialiste de l’histoire de la Vème République, Philippe de Saint Robert à été chroniqueur à "Combat", à "Notre République", au "Quotidien de Paris" et au "Monde". Il a également occupé les fonctions de Commissaire général de la langue française (1984-1987, son successeur étant Bernard Billaud) et de Conseiller culturel à Bruxelles.

Philippe de Saint Robert est écrivain, ancien Commissaire général à la Langue Française, membre du Haut Conseil de la Francophonie.
Il est également président de l’Académie de la Carpette anglaise, qui remet chaque année le "prix de la Carpette anglaise".

Le prix de la Carpette anglaise est un «prix d’indignité civique» décerné annuellement à un membre des «élites françaises» s’étant particulièrement distingué par son «acharnement à promouvoir la domination de l’anglo-américain en France au détriment de la langue française».

Il est également un gaulliste convaincu (certains le qualifient de "gaulliste de gauche"), mais pas de la veine carriéro-affairiste du locataire de l’Elysée, dont il n’hésite pas à critiquer sévèrement l’incons(is)tance.

Philippe de Saint Robert a reçu le Prix Combourg pour « Le secret des jours (Editions Jean-Claude Lattès) et l’ensemble de son oeuvre.
http://www.combourg.net/page4.htm

BIBLIOGRAPHIE :
Le Jeu de la France (Julliard)
La même douleur démente (Flamarion)
Montherlant le séparé (Flammarion)
Les Septennats interrompus (Robert Laffont)
Discours aux chiens endormis ( Albin Michel)
Lettre ouverte à ceux qui en perdent leur français (Albin Michel)
Montherlant ou le relève du soir (Les Belles Lettres)
Le Secret des jours, une chronique sous la Ve République (Lattès)
La Vision tragique de Simone Weil (de Guibert).
De Gaulle et ses témoins (Rencontres historiques et littéraires, Bartillat, 1999)

CITATION
"La liberté d'un pays c'est sa souveraineté." Philippe de Saint Robert.

INTERVIEW :
http://radio-courtoisie.over-blog.com/article-1064556.html

ACADEMIE DE LA CARPETTE ANGLAISE :
Liste des membres :
Raymond Besson, Paul-Marie Coûteaux, Anne Cublier, Claude Duneton, Bernard Dorin, Marc Favre d'Échallens, Guillemette Mouren-Verret, Dominique Noguez, Philippe de Saint Robert (président).

Adresse :
Académie de la Carpette anglaise,
chez le Droit de Comprendre
34 bis, rue de Picpus
75012 Paris
Tél. : 01 43 40 24 61 – Fax : 01 43 40 17 91

 

[source: http://courtoisie.forumactif.com/viewtopic.forum?t=44 ]

 


 

http://www.jeune-france.org/Entretiens/Saintrobert1.htm
http://asselaf.neuf.fr/der/edito24.htm
http://www.presse-francophone.org/GAZETTE/gazette_111etatsunis.htm
http://www.stratisc.org/strat_055_ST-ROBERT.html

Libre Journal du mardi 18h, une fois par mois

 

catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00


présentation temporaire

 

 

Né à la fin des années 40, agrégé d’histoire, professeur d’histoire en classes préparatoires aux grandes écoles de commerce en région parisienne.

Membre du Comité central du Front National jusqu’en 1998, il est également Conseiller Régional d’Ile de France (pour les Hauts-de-Seine). Il a rejoint le MNR de Bruno Mégret lors de la scission de 1998.

(Ancien ?) membre du Conseil national du MNR
Sans avoir quitté la mouvance nationale, il semble depuis s’être un peu démarqué du MNR, comme Jean-Yves Le Gallou d’ailleurs, suite aux déboires financiers du mouvement (lors de l’élection législative de juin 2002, il recueille 1% des suffrages)

Président du Mouvement pour une Education Nationale (MEN), et membre de la commission des lycées et universités de la région Ile-de-France, il s’intéresse particulièrement aux problèmes d’éducation.

Membre du Conseil National Souverainiste (réunit à l'initiative de l'Alliance pour la Souveraineté de la France, les représentants des principales forces et les principales personnalités engagées dans le combat pour la souveraineté de la France)

Ancien "superviseur" du libre-journal des Lycéens sur Radio-Courtoisie, il a pris la direction d’un libre journal autonome en 2003 (?). Il participait auparavant régulièrement en tant qu’invité au libre journal de Claude Giraud. Sa fidèle assistante à l’antenne est Marie Labrunie, qui a une charmante voix (melliflue, comme dirait Hamiche).

Il y a quelques années, Olivier Pichon s’est fait sauvagement agresser dans les Hauts-de-Seine, par des racailles armées de battes de base-ball, lors d’un meeting électoral.

Catholique convaincu, il a repris la direction de l’hebdomadaire national-catholique "Monde et Vie" (où il tenait précédemment la chronique de l’enseignement), succédant ainsi à Claude Giraud (également patron(ne) d’émission sur Radio-Courtoisie). Il est également engagé dans le combat anti-avortement.

Sa fidèle assistante à l'antenne est Marie Labrunie [ marie.labruniecegetel.net ]

OPINION SUR RADIO COURTOISIE :
http://radio-courtoisie.over-blog.com/article-1064560.html

L’ECOLE FRANCAISE ET L’IMMIGRATION
:
http://www.vdfr95.com/Journal51/tribune_51.html

BIBLIOGRAPHIE :
Dernières nouvelles du mammouth, Editions du Trident

CITATIONS :
"L’école est devenue une fiction: on n’y enseigne plus, on y parque les élèves devant un professeur mal soutenu par sa hiérarchie, devenu impuissant à transmettre des connaissances, victime ou complice de l’imposture du pédagogisme."

"Une civilisation qui laisse ou qui fait mourir son école est une civilisation qui se suicide. C’est depuis les premières années de la Ve république que l’école a fait l’objet d’un processus de démantèlement qui s’est puissamment amplifié à partir de mai 1968. La destruction de l’école s’est faite au nom d’une idéologie égalitariste venue de la gauche, mais que les ministres de l’Éducation nationale gaullistes, pompidoliens, giscardiens ou chiraquiens ont laissé s’imposer ou même ont officiellement consacrée. Si bien qu’à partir de 1981, les ministres socialistes de l’Éducation nationale n’ont eu qu’à amplifier encore davantage les effets de cette idéologie perverse, dont leurs adversaires avaient déjà fait si obligeamment la doctrine officielle de l’Éducation nationale. Et les quelques ministres de l’Éducation nationale non socialistes des deux dernières décennies n’ont pas remis en cause l’égalitarisme scolaire".

COORDONNEES :
Monde et Vie
14, rue Edmond Valentin
75007 Paris
Tél : 01 47 05 10 42
Fax : 01 47 53 89 67
http://www.monde-vie.com
mondeviecegetel.net

 

[source: http://courtoisie.forumactif.com/viewtopic.forum?t=46 ]


 

 

Libre Journal du jeudi 18h, toutes les 4 semaines

 

catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00


présentation temporaire

 



 

Gérard MARIN, né à la fin des années 1920, entre tout jeune au Figaro en 1946. Il y effectuera sa carrière en tant que grand reporter, puis rédacteur en chef.

Il anime le "libre-journal des médias", assisté d'Annick Marty, son épouse.

Son métier lui a permis de parcourir tous les pays d'Afrique francophone et anglophone avant leur décolonisation. Fort de cette expérience il n'hésite pas à témoigner des bienfaits de la colonisation occidentale, qui évitait famines et guerres tribales aux populations africaines.
Aussi dénonce-t'il avec d'autant plus de conviction, l'actuelle colonisation à rebours de l'Europe par les anciens peuples colonisés.


L'aventure Emmaus

En 1954, le Figaro constitua une véritable tribune pour l'abbé Henri Grouès (dit l'abbé Pierre), les deux journalistes Gérard Marin et Georges Verpraet étant amis de l'ecclésiastique.
Au Figaro, Gérard Marin, qui soutenait les organismes HLM publia plusieurs articles courant novembre 1953, soulignant le contraste entre ces constructions nouvelles et les bidonvilles qui proliféraient encore en région parisienne ; il publia également en novembre et décembre 1953 des articles sur un campement de l'abbé Pierre, dénommé "Notre-Dame des Sans-Logis", en souhaitant susciter le remords et la honte dans l'opinion publique ainsi que la réaction des pouvoirs publics. Chacun de ses articles était ponctué d'un appel aux dons.

Les articles de Gérard Marin pour la cause des mal-logés et sans-abris suscitèrent alors un énorme élan de générosité dans le pays

Gérard Marin fut également à cette époque, collaborateur de la revue "Faim et Soif", mensuel créé en 1954par l'abbé Pierre, qui dénonçait notamment les effets néfastes de la production d'alcool et le recrutement inconsidéré des travailleurs nord-africains. Il alla même jusqu'à passer une nuit en compagnie de l'abbé Pierre et du Ministre des travaux publics de l'époque (Robert Buron) à ramasser des "couche-dehors".


La guerre d'Algérie

Il a été un des envoyés spéciaux du Figaro pendant la guerre d'Algérie, de 1955 à 1962 et a vécu "la peur au ventre" la terrible bataille d'Alger en 1956-1957.

Ecoutons le témoignage que Gérard Marin porte aujourd'hui sur ces événements dramatiques :
(
http://www.piedsnoirs-aujourdhui.com/desgens_sexpriment.html )

"Sans vouloir justifier des méthodes moralement condamnables, je livre un témoignage. On ne peut pas juger lorsqu'on n'a pas vu tant d'innocentes victimes, femmes, enfants, vieillards, déchiquetées par les bombes et les grenades qui explosaient un peu partout, dans les cafés, les cinémas, les stades, les dancings, aux arrêts de bus. Et jusque dans les cimetières surpeuplés !
(...)
On ne peut pas juger lorsqu'on n'a pas vu les atrocités d'un sadisme écoeurant commises par les tortionnaires de l'ALN sur nos soldats, les supplétifs musulmans ou les civils des mechtas fidèles à la France : pauvres corps suppliciés, égorgés, émasculés, les lèvres, les oreilles et le nez coupés. Sans parler des femmes éventrées, sans parler du douar martyrisé de Melouza parce que rebelle aux fellaghas.
(...)
Il fallait, d'extrême urgence, mettre fin au cauchemar, arrêter le massacre des innocents. Quels moyens restait-il quand l'interrogatoire "aimable" des suspects et le renseignement de police n'avaient pas suffi ? C'est facile de s'indigner quarante-trois ans après, à froid, tranquillement assis dans son fauteuil, mais alors, sur le terrain, n'était-il pas impératif d'opérer à chaud pour sauver des vies ? Sait-on que plus de cent bombes furent ainsi découvertes à temps ?
(...)
Certes, la barbarie FLN, les plus ignobles tueries n'excusent pas certains excès de nos militaires. Il ne s'agit pas d'ailleurs d'excuser, mais de comprendre. Le pouvoir politique (largement socialiste jusqu'en 1958) a imposé à notre armée de venir à bout d'une guerre révolutionnaire. Les bavures étaient inévitables. Ces guerres-là sont particulièrement affreuses et révoltantes.
Ce qui n'est pas moins révoltant, c'est l'impudeur et l'impudence de nos communistes et de nos gauchistes, soutiens actifs des bourreaux.
(...)
Ces petits messieurs, qui jouent aujourd'hui les Fouquier-Tinville à l'encontre de l'armée française, ont scandaleusement, ignominieusement fourni à l'ennemi FLN une partie des armes qui tuaient nos soldats. Ces petits messieurs se sont honteusement tus devant le calvaire des pieds-noirs massacrés et, lors de l'indépendance algérienne, devant l'ignoble martyre des quelque cent vingt mille harkis brûlés ou dépecés vifs, ébouillantés, enterrés ou jetés vivants dans la chaux vive."


En juillet 1959, Gérard Marin accompagne, pour le Figaro, le voyage présidentiel de 9 jours du Général de Gaulle sur l'île de la Réunion, territoire alors en ébullition, aux Comores et à Djibouti. Il en parle en ces termes (pour l'ile de la Réunion):
"Les foules sont profondément françaises ici. La "Marseillaise vibrante, unanime, qu'elles ont chantée en choeur avec le général De Gaulle, après le discours du président, en est une preuve éclatante.
(...)
Le succès de ce voyage ultramarin du général De Gaulle nous a contraints à épuiser tous les synonymes d'enthousiasme, à travailler un peu - objectivement - dans le superlatif ! Mais ici on peut vraiment parler de "délire". ... Ne pouvant dissimuler son émotion, De Gaulle ne cesse de répondre aux ovations qui
vont crescendo. Il mettra près d'une demi-heure à parcourir cinq cents mètres..."


En 1963, Gérard Marin dirige la réalisation d'un numéro spécial et remarqué du Figaro ( "Vivre dans les cités nouvelles" ) sur les "grands ensembles", cette nouvelle forme urbaine qui sortait alors de terre. Ces habitations, qui à l'époque servaient à reloger des français de condition très modeste (vivant parfois dans des bidonvilles à la périphérie des grandes agglomérations), étaient très appréciés pour leur confort : eau courante, sanitaires, cuisine séparée ...


BIBLIOGRAPHIE

- De nombreux articles de fond et grands reportage parus dans le Figaro.

- "La Grande Aventure d'Emmaus" Gérard Marin (co-auteur) - Editeur inconnu

A ce titre, Gérard Marin a participé à l'émission les "Dossiers de l'Ecran" en avril 1970 en compagnie de l'Abbé Pierre, Robert Buron (ancien ministre), P.-M. de la Gorce (auteur de "La France Pauvre"), lors du débat qui a suivi la diffusion du film "Les Chiffonniers d'Emmaüs" (réalisé par Robert Darène d'après le livre éponyme de Boris Simon et sorti en février 1955 dans 4 salles parisiennes).


CITATION

"De grâce, qu'on arrête avec les repentances à sens unique !"
Gérard Marin, témoignage sur la guerre d'Algérie

 

[source: http://courtoisie.forumactif.com/ftopic70.Gerard-MARIN.htm ]

 

en vidéo :
http://www.dailymotion.com/video/x1jx9p_rue-isly


 

Libre Journal du mercredi midi, une fois par mois

 

catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00


présentation temporaire

Frère de Jérôme Lejeune (1926-1994, découvreur de la trisomie 21 en 1959, président de l'Académie Pontificale pour la Vie), Philippe LEJEUNE est né le 15 novembre 1924 à Montrouge. Depuis sa plus tendre enfance, il a évolué dans un environnement musical et littéraire, au sein d'une famille très catholique.
En 1941, il accède aux "Ateliers d'Art Sacré" de Maurice Denis, place de Fürstemberg, et se destine à la peinture. Il profite des conseils de Georges Desvallières pour devenir l'élève de Jean Souverbie (1891-1981 - membre de l'Institut - Académie des Beaux-Arts) dès 1943 et de Cennino Cennini.

Pendant 11 ans, et sans interrompre la peinture, il exécute des maquettes, cartons et peintures sur verre de vitraux (1955), pour de nombreuses églises en Normandie et en Bretagne (vitraux à Guernesey, au Mont-Saint-Michel, à Notre-Dame du Fort, à l'église d'Etampes). Il obtient une bourse de voyage au Prix National en 1948.

En 1962, il participe à "l'Ecole de Paris" à la galerie Charpentier et se voit décerner le "Prix du livre gravé" de l'Institut de France.

En 1968, Philippe Lejeune ouvre un atelier d'Arts plastiques à Etampes : l'Atelier de la Vigne, autour duquel sera fondée "l'Ecole d'Etampes".
En 1970, il expose à la galerie Durand-Ruel (Paris) et effectue un séjour en Inde. Il ouvre également un atelier de peinture et gravure en milieu carcéral à Fleury-Mérogis.
En 1974, il est nommé "sur ½uvres" conservateur du Musée d'Etampes.

Philippe Lejeune collectionne alors les prix et les récompenses :
- en 1975, il reçoit la Médaille d'Or des Artistes Français
- en 1982 lui est décerné le Prix de l'Orangerie de Versailles
- en 1983, la Fondation Taylor lui décerne le Grand prix Baudry pour l'ensemble de l'oeuvre peint.
- en 1985, lui est décerné le Prix du salon des Artistes Français
- en 2001, il reçoit le Grand prix du salon des Armées des Invalides et est nommé peintre des Armées.

Philippe Lejeune expose régulièrement (1994, 1996, 2000, 2001, mai-juin 2005) à la galerie Mouvances à Paris. Il a également exposé en Europe (Stuttgart, Turin) et au Canada (Montréal).
Philippe Lejeune demeure attaché à la peinture d'inspiration biblique, sans négliger le portrait.

Il a notamment orné les églises de Bouville, Boust, Etouvens, St Peter-Port à Guernesey, les locaux de la B.I.C.S. À Montrouge, les locaux de l'Hôpital de Villejuif. Il a également illustré divers ouvrages : "Lancelot du Lac", oeuvres de Corneille, encyclique de Jean XXIII (aux éditions Philippe Lebeau)

Ses toiles sont visibles dans les collections publiques comme les musées d'Etampes, Pierrefeu ou Montréal.


L'ATELIER DE LA VIGNE et L'ECOLE D'ETAMPES



L'atelier de la Vigne a été fondé en 1968 par Philippe LEJEUNE, il a immédiatement adopté l'exercice du portrait comme formation essentielle pour les jeunes peintres qui y travaillaient. Il est aujourd'hui l'un des seuls en France à le pratiquer.

Depuis 1970, rue de la Vigne, l'atelier s'est peu à peu développé dans diverses activités : gravure, sérigraphie, technique de l'icône dorée à la feuille d'or, dessin, pastel et s'est enorgueilli des prix qui ont distingués trois générations de peintres figuratifs : Prix de la Jeune Peinture, Prix du Portrait Paul-Louis Weiller, Prix de Monaco, Prix Noufflard ( 5 lauréats ! ), trois peintres et trois années de suite Prix du Reader's Digest, Prix Rugale Michaïlov de la Fondation Taylor, Peintres officiels de la Marine ...
Les récompenses qu'obtiennent ses élèves aux différents concours et expositions témoignent du bien-fondé de ses conseils.

Dans son atelier d'Etampes, Philippe Lejeune a formé de nombreux jeunes talents, parmi lesquels :
- François Legrand
- Christoff Debusschere [peintre de la Marine et peintre de l'Armée de l'Air]
- Jean-Marc Allais
- Joel Giraud
- Jacques Rohaut
- Franck Senaud
- Eric Bari [peintre des Armées (prix Fondation Taylot, salon de la Marine, Prix de la Fondation de France)]
- Jean-Marc Idir : peintre figuratif, remarqué pour ses qualités de portraitiste
- Geneviève Decroix
- Nathalie Gobin (1964-1992) : Élève du peintre Philippe Lejeune à étampes depuis 1983, pensionnaire à la Casa Velàzquez depuis octobre 1990, lauréate de nombreux prix (Fondation Taylor, Médaille des Artistes Français, prix de l'Académie des Beaux-Arts ...), Nathalie Gobin intervenait occasionnellement à l'antenne de Radio-Courtoisie, aux tous débuts de la radio, en tant qu'assistante de Jean Ferré et patron d'émission.

Les élèves de Philippe Lejeune redonnent une grande vitalité au difficile et exigeant art figuratif, qui tend aujourd'hui à être dénigré et tenu à l'écart des honneurs et des robinets financiers au profit du "non-art officiel et abscons" (comme dirait Marie-José de Bravura)


LA PEINTURE DE PHILIPPE LEJEUNE

"Pour Philippe Lejeune, Dieu écrit le réel avec style. Comme Champollion passant par la grec pour traduire l'indéchiffrable, il exprime la beauté en couleurs et surfaces qui s'aiment, selon la syntaxe, le rythme et l'harmonie que lui a révélés le visible. C'est pourquoi sa peinture naît d'abord abstraite: abstraite comme le lien mystérieux qui tisse une page de Britten ou de Debussy; la sensualité procure docilement à la composition ce qu'elle réclame comme l'oreille s'applique à conjuguer les notes. En ce sens son oeuvre hérite de Cézanne qui disait: «La technique d'un art comporte un langage et une logique». Mais l'artiste, alors préoccupé comme un enfant de bien sculpter un coquillage, tout à coup s'étonne d'y entendre la mer: ce qui resterait un bleu de cobalt ou une équation lui révèle une nécessité plus grande où le sens et la raison se mirent: telle courbe impose un torse, cet ocre dicte la place d'un visage, cette matière nacrée appelle un drapé.
Pariant avec confiance que l'inconnu s'exprime, Lejeune, tel Orphée, nous force d'écouter les subtils accords du vent: sa palette est une harpe et son chant retrace une épopée éternelle. Chacun peut retrouver dans les acteurs de ce théâtre intérieur ses compatriotes, comme les bergers de Poussin affirmant «moi aussi je suis allé en Arcadie». Ils parlent en paix des arrhes de la Promesse, apportant le contrepoint de leur conscience aux caprices des éléments. «Lejeune est le dernier des peintres d'Occident ou le premier comme on voudra» écrivait le grand critique d'art Jean Bouret à son propos."

Nathalie GOBIN dans la brochure "L'École d'Étampes. 1971-1991"


"Plus que l'histoire sainte, Lejeune peint la grâce janséniste, celle qui, même reçue en partage, doit encore se mériter pour devenir efficace. Durement conquise sur l'ombre infertile, la lumière immatérielle qui sourd de son ½uvre, si étrangère au cours contingent du temps, ne capte les sens que pour élever l'âme."
Béatrice COMTE

web-galerie : (2 pages)
http://www.galeriemouvances.com/peintres_Lejeune1.asp


La Visitation par Philippe Lejeune - Huile sur toile - 38 x 50 cm


CITATIONS

"La peinture oscille éternellement entre l'invention et l'imitation. Tantôt elle copie et tantôt elle imagine. Ce sont là ses variations. Mais qu'elle produise la nature objective, ou qu'elle traduise plus spécialement l'émotion de l'artiste, il faut qu'elle soit un objet d'art de beauté concrète et que nos sens découvrent dans l'objet d'art lui-même, abstraction faite du sujet représenté, une satisfaction immédiate, un plaisir esthétique pur."
Maurice Denis, qui fut le maître de Philippe Lejeune

"La peinture est d'abord une indiscrétion, c'est un métier comme celui de cordonnier. Cela s'arrête lorsque les choses ne sont plus reconnaissables".
"Si on enlève les peintures religieuses et les figures humaines, que reste-t-il de la grande galerie du Louvre ?"

"[Il] pratique plusieurs techniques comme font les compositeurs qui s'essaient à divers instruments. Le peintre, en effet, est l'exécutant de sa propre partition."
"Que la nature mène à l'art et que l'art perfectionne la nature en s'en servant."

"Tout ce qui est indicible est indigne de l'art".
Cette citation de Philippe Lejeune traduit l'esprit de sa peinture

"Dans tout peintre il y a toujours un débutant qui sommeille et l'erreur et la fausse démarche sont les choses les mieux partagées. L'enseignement tel que je le conçois consiste donc à reconnaître dans l'oeuvre d'autrui les fautes que l'on a déjà commises soi-même, les impasses dans lesquelles on s'est déjà fourvoyé. Ce système a l'avantage de ne contrarier en rien la personnalité du peintre. Bien entendu, je mets la main à la pâte picturale et m'efforce de répondre à toutes les questions."
Philippe Lejeune, à propos de l'enseignement de la peinture.


FILMOGRAPHIE

Court-métrage documentaire sur Philippe LEJEUNE

1985, documentaire, 16 mm, couleur, 26 min
Réalisation : Patrick Chaput
Production : DAP, Média 5
Distribution : Patrick Chaput
Filmé dans son propre atelier et dans l'atelier municipal qu'il a créé et qu'il dirige à Étampes, Philippe Lejeune commente ses autoportraits en compagnie de l'écrivain Claude Mettra. Ensemble, ils s'interrogent sur la peinture, sa technique, son enseignement, sa dimension métaphysique.


BIBLIOGRAPHIE

"Conseils à un jeune peintre", Editions de Paris (2001)

"La vision créatrice" (Essai), Editions Mémoire Vivante (2002)
"Le Portrait. Entretien inédit avec Philippe Lejeune, peintre, fondateur de l'Atelier de la Vigne", par Franck Senaud (2002)

"GALERIE DURAND-RUEL [Paris], Philippe Lejeune. 20 mai-5 juin 1970" (Catalogue d'exposition)

"L'école d'Etampes. 1971-1991" par Bérénice LEJEUNE-CANNAVO [conceptrice] et Nathalie GOBIN [rédactrice] (1991)
Rétrospective des principaux peintres qui, aux côtés de Lejeune, ont la volonté de représenter une part de l'art contemporain, loin de l'art officiel et des préjugés.

"Philippe Lejeune", Conseil Général de l'Essonne
Cet ouvrage montre la diversité de sa gamme chromatique, de ses glacis, de ses lumières, par le contraste entre la légèreté de ses flous poétiques et la netteté des visages de ses personnages.

"Les amis de l'Atelier de la Vigne à Etampes", Philippe Lejeune (1992)
"Berchère d'Étampes, Berchère l'Égyptien", Philippe Lejeune (1996)

"Les carnets d'atelier du peintre Philippe Lejeune", illustrations de Philippe Lejeune et textes recueillis par Nathalie Gobin, Editions Mémoire Vivante.
"Via crucis", par Pierre LEJEUNE [poète] et Philippe LEJEUNE [dessinateur], Editions Mémoire Vivante, 75 exemplaires numérotés.

Philippe Lejeune a également donné des entretiens à la revue France Catholique, notamment dans les numéros :
- 2455 : "Philippe Lejeune, peintre"
- 2584 : "Entretien avec Philippe Lejeune, un peintre de la grâce"

COORDONNEES

Atelier de la Vigne (Atelier d'Arts Plastiques)
6 rue de la Vigne
91150 ETAMPES
Tél : 01 64 94 88 70

Philippe Lejeune
22, rue Sadi Carnot
91150 ETAMPES
Tél : 01 64 94 02 76

Galerie Mouvances – Sculpture et peinture contemporaine
2 place des Vosges
75004 PARIS
Tél : 01 40 27 98 12
Fax : 01 40 27 88 42
Internet :
http://www.galeriemouvances.com/

AVIS DE RECHERCHE

L'Association "Les Chercheurs d'Art" et les filles de Philippe Lejeune (Mme Sophie Choussy, Mme Bérénice Canavo, Mme Valérie Lejeune) invitent les collectionneurs et amateurs en possession d'oeuvres et documents à se faire connaître, en vue de la réalisation d'un catalogue raisonné. Confidentialité assurée
Adresse : Chérel, 5, route d'Etampes 91780 Châlo-Saint-Mars

[source : http://courtoisie.forumactif.com/ftopic71.Philippe-LEJEUNE.htm ]




site officiel de Philippe Lejeune
http://www.philippelejeune.fr



voir aussi
http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Lejeune_%28peintre%29





Libre Journal du mardi midi, toutes les 2 semaines

 


catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00


présentation temporaire

  

 

Né en 1922, Alain Griotteray il joua dès 1940 un rôle de premier plan aux débuts de la Résistance (il est titulaire de la médaille de la Résistance et membre fondateur de la Fondation de la Résistance)

En 1958, il prépara le «coup d'Etat démocratique» du 13 mai, relayé par les militaires depuis Alger, qui porta de Gaulle au pouvoir, en compagnie de Michel Poniatowski, Alexandre Sanguinetti, Jean-Baptiste Biaggi, anciens résistants de droite issus des commandos de la France libre. Cette action était des tinée à conserver une Algérie française...
Jean-Baptiste Biaggi et Alain Griotteray, respectivement président et secrétaire général du PPR, s'enfuient en Espagne d'où ils gagnent Alger dans un avion affrété par le général Franco. Ils parviennent à prendre contact avec Massu, mais sont refoulés par Salan, qui ne veut pas partager la vedette. (Quelques jours plus tard, les députés JM Le Pen et Jean-Maurice Demarquet connaîtront le même sort).

En 1976 Alain Griotteray est Commandeur de la Légion d'honneur ; il est élevé à la dignité de Grand Officier de la Légion d'Honneur par décret du 13 juillet 2001 (NOR : PREX0104975D).

Administrateur de sociétés, écrivain, mémorialiste, journaliste, Alain Griotteray est également un homme politique de droite engagé (un temps aux côtés de l'UDF), et un patriote grand serviteur des intérêts de la France.
Il fut notamment élu au Conseil de Paris, député du Val de Marne de 1967 à 1973, puis de 1986 à 1997, et maire de Charenton-le-Pont (commune limitrophe de Paris) de 1973 à 2001. Il est également membre honoraire du Secours de France.

Il fut reçu à la Maison Blanche par Ronald Reagan au début de sa présidence.

Alain Griotteray fut le principal artisan de la création et de l'essor du du Figaro Magazine, où il a publié de nombreux éditoriaux. Il y fit la connaissance de Jean Ferré à l'époque où ce dernier tenait la chronique radio et télévision.
Hélas, il fut récemment évincé du Figaro-Magazine, lors de l'arrivée de Patrick de Carolis à la direction de ce journal :
"Quelques semaines après son arrivée en tant que directeur général, Patrick de Carolis a donné une nouvelle ligne au " Figaro Magazine " : cap à gauche. Ce virage est symbolisé par l'éviction d'un des fondateurs du journal, l'éditorialiste Alain Griotteray, qui symbolisait mieux que quiconque la résistance de la droite de conviction au politiquement correct.
Alain Griotteray dénonçait l'excès d'impôts, de dépenses publiques et d'immigrés. Il était contre le bombardement de la Serbie, la création d'un État musulman ethniquement pur au Kosovo, ou la mise au pilori d'Israël confronté au terrorisme palestinien. Contre l'euro et le très grand État européen. Contre José Bové, Daniel Cohn-Bendit ou Lionel Jospin. Il plaidait pour la liberté, la responsabilité, les fonds de pension, la tolérance zéro, la nation. Pour Reagan, Thatcher, Berlusconi ou Bush.
Pour la droite. Contre la gauche. Un souverainiste, libéral, conservateur, inlassable défenseur de l'Occident chrétien et de ses valeurs. Alain Griotteray était le dernier à tenir cette ligne. Sans complexe. Avec conviction et talent.
Il a été remplacé par Yves Messarovitch, exemple-type du journaliste de la droite molle, dénué de réel esprit critique, qui appartient en réalité au centre gauche."

(extrait d'une chronique d'Arthur Laurier sur le site :
http://www.les4verites.com )

Alain Griotteray est souvent invité au libre-journal de Jean Ferré, pour des discussions sur l'actualité politique en compagnie de Michel Junot (ou de Michel Poniatowski, avant le décès de ce dernier).
Il dirige également, depuis 2 ans, son propre libre-journal sur Radio-Courtoisie.

Les rapports parlementaires récents

En 1994, répondant à une mission confiée par Edouard Balladur (alors premier ministre), Alain Griotteray (alors député du Val-de-Marne) plaide pour l'accélération des privatisations. Il vise en vrac : Renault, Thomson, Air France, La Poste, EDF, GDF, ... et propose également la vente du parc des logements HLM à leurs locataires.
"La privatisation de l'ensemble du secteur industriel concurrentiel s'impose car l'Etat est un actionnaire défaillant et un piètre stratège" déclare Alain Griotteray.

En 1996, Alain Griotteray fut chargé d'une enquête parlementaire sur l'audiovisuel public. En épluchant les contrats signés par Jean-Pierre Elkabbach, patron de France Télévision, il a découvert qu'une poignée de vedettes (exemple : JL Delarue avec des revenus de 1 million de francs par mois) bénéficiaient, au travers des sociétés de production leur appartenant, de conditions commerciales exceptionnelles : budgets imposants, chiffres d'affaires garantis et droits d'exclusivité exorbitants. Un système de rentes de situation devenu quasi industriel depuis la privatisation des réseaux de télévision hertziens. Mais le plus curieux est que ce soit une chaîne du service public qui l'ait poussé à son paroxysme.
"Ces gens revendent très cher à la télévision la célébrité qu'elle leur a apportée", tempête Alain Griotteray. A l'issue de cette enquête, il a écrit un livre : "L'argent de la télévision".

Positionnement politique

Alain Griotteray est épris tout à la fois de liberté et d'engagement, et revendiquant hautement son indépendance, d'esprit comme d'appartenance politique, n'hésitant pas à critiquer les errances et les turpitudes de la droite parlementaire et présidentielle. Alain Griotteray ne fait pas partie de la droite sectaire, et a approuvé l'idée de désistement réciproque à droite lancée par le délégué général Bruno Mégret, avant la scission du FN.

En 1994-1995, il a participé à la création du club Idées-Action (fondé par Alain Madelin)
En 1996, Alain Griotteray a soutenu la création de la formation politique éphémère de Claude Reichman : le Parti pour la Liberté (PPL)
En novembre 1998 : il a participé, avec Michel Poniatowski, au congrès fondateur de La Droite de Charles Millon à Paris (devenue l'année suivante : la Droite Libérale et Chrétienne (DLC)..

L'ACTION DANS LA RESISTANCE

Alain Griotteray est un Résistant de la première heure. Dès 1940, à l'âge de 18 ans, il fonde dans la clandestinité avec quelques amis dynamisés par Henri d'Astier de la Vigerie (résistant et journaliste ayant appartenu à l'Action Française), le réseau de résistance "Orion". Il est alors le plus jeune chef de réseau de la résistance.
Comme il l'écrit lui-même, il faisait partie de ces "quelques écervelés qui entrèrent d'emblée dans la résistance active".

Orion est un réseau de renseignement qui se révèlera des plus utiles à ceux qui préparent le débarquement américain en Afrique du Nord. Après novembre 1942, à la recherche de nouvelles missions, les agents de ce réseau Orion vont organiser d'innombrables évasions par l'Espagne (qui alimenteront les Commandos de France créés par d'Astier) et se reconvertir dans le renseignement militaire en métropole. Agents d'Orion comme commandos du Détachement Spécial, tous participeront activement aux combats de 1944 pour la Libération de la France.

Le 11 novembre 1940, Alain Griotteray organisa avec d'autres à l'Arc-de-Triomphe, la grande manifestation d'étudiants qui défièrent l'occupant allemand, en colère contre la passivité de son peuple qui tolérait que la France fût à ce point abaissée. C'était la première manifestation de résistance contre les forces ennemies occupant Paris. Parmi les personnes arrêtées se trouvaient 19 étudiants et 93 lycéens : les jeunes avaient montré collectivement leur engagement précoce contre l'occupant.

La manifestation, relatée par l'Action Française :
"Les troupes d'occupation avaient bien entendu interdit toute commémoration de la victoire de 1918. Les étudiants et lycéens parisiens décidèrent d'en faire un symbole de résistance. L'initiative de la manifestation revient largement à la Corpo de droit, fondée en 1934, et largement pénétrée par les idées de l'Action française. Il y eut bien sûr d'autres nationaux, des gaullistes de la première heure, et même quelques communistes bravant les ordres du parti, mais les principaux animateurs de la manifestation, Jean Ebstein-Langevin, vice-président de la Corpo, Alain Griotteray , André Pertuzio président de la Corpo, étaient issus de la mouvance royaliste.
Parmi les nombreux lycéens de Buffon, Janson de Sailly, Saint-Louis, présents ce jour-là, beaucoup de royalistes également dont un certain Roger Nimier, le futur romancier alors collégien au lycée Pasteur de Neuilly. Vers 17 h 30, plusieurs milliers de manifestants convergeaient donc vers l'Étoile. 155 d'entre eux furent incarcérés à la prison de la Santé, la plupart furent libérés un mois plus tard. Dans la presse collaborationniste, celle de Doriot et de Déat, la manifestation fut largement dénoncée comme un coup des camelots du roi. Les traîtres ne s'étaient pas trompés."


Cette manifestation est commémorée par une plaque en haut des Champs-Elysées, ainsi que par un défilé annuel de l'Action Française.

"Comme l'a bien montré Alain Griotteray, c'est la droite nationale qui a été à la pointe du combat contre l'occupant de l'époque, et la légende d'une droite-collabo et d'une gauche résistante a été forgée de toutes pièces par les communistes après la guerre. Qui ose ainsi nous calomnier ? Ceux qui signèrent le pacte germano-soviétique ? "
Citation de Jean-Marie Le Pen


FILMOGRAPHIE

"A propos de la libération de Paris"
ALAIN GRIOTTERAY 10 avril 1989 / série : Mémoires parisiennes
réalisation Vidéothèque de Paris - documentaire 1989 couleur 37min
Alain Griotteray, alors membre du réseau de renseignement et d'évasion Orion, évoque sa participation à titre personnel à la Libération de Paris.
"A propos de la Libération de Paris" est une série qui rassemble 35 interviews de personnalités, acteurs ou témoins des journées historiques d'août 1944. Philippe Ragueneau, journaliste et ancien résistant, a recueilli leurs témoignages.

Ce document fait partie d'une collection de films visionnables dans la salle de consultation du Forum des Images, sur place uniquement. Il n'est proposé, ni à la vente, ni au prêt (référence : VDP3924)

BIBLIOGRAPHIE

"1940, la droite était au rendez-vous : qui furent les premiers résistants ? " Editions Robert Laffont (1985)
"1940 : Qui étaient les premiers résistants ?" (avec une postface de Jacques Soustelle), L'age d'homme (1999)
(réédition augmentée du titre précédent)

"L'âme d'un peuple" Editions L'Age d'Homme
Le dévouement inlassable de la résistance en armes au combat de plume, d'un homme à sa patrie. Qui n'est ni un État, ni un territoire : une âme? L'auteur trouve les mots justes pour nous décrire son amour de la France et des Français. Mais il est en même temps la dénonciation d'un système quasi-institutionnalisé d'anesthésie, de destruction de la mémoire d'un peuple car c'est pour beaucoup par la connaissance de son histoire qu'un peuple forge son identité et se donne les moyens de résister. A l'attention de ses compatriotes, abattus ou déboussolés, Alain Griotteray a préparé ce généreux aide-mémoire.

"Si la France parlait... " Editions Fayard (1973)

"Non à la constitution Pour une certaine idée de l'Europe", (en collaboration avec Etienne Tarride, préface de Pierre Messmer), Editions du Rocher (2005)
les Français seront appelés à se prononcer au printemps par référendum sur un projet de constitution. Alain Griotteray et Étienne Tarride leur proposent de répondre " NON " !Pour convaincre, ils se sont répartis la tâche : au premier la passion, au second la raison. C'est l'amour de la France qui inspire Alain Griotteray ; il ne supporte pas ceux qui ne croient plus à la patrie mais proposent en même temps l'entrée de la Turquie, animée d'un nationalisme farouche.

"POLITIQUE D'ABORD" Editions ALBATROS (1991)

"Anatomie du Parti communiste français"

"Lettre aux giscardo-gaulliens"

"La fraude ?lectorale de la gauche" ouvrage collectif par par R. Drago, J.Y. Le Gallou, Pierre-Christian Taittinger, Alain Griotteray, Editions Albatros (1983)
Le récit des malversations politiques et de la fraude organisées par la gauche aux élections municipales de 1983 à Marseille, Antony, Sarcelles, Aulnay, etc ...

"L'ARGENT DE LA TELEVISION" Editions du Rocher (1996)
L'enquête stupéfiante d'Alain Griotteray sur les excès financiers dans l'audio-visuel public.

"LA DROITE PEUT-ELLE DETRUIRE LA FRANCE ?", Editions du Rocher (1993)

"Les années Jospin Chroniques du temps perdu Editions des Syrtes (2000)
Alain Griotteray comptabilise les erreurs de Jospin : 35 heures, emplois-jeunes, couverture maladie universelle, régularisation des immigrés, augmentation des impôts et des dépenses publiques... Son immobilisme sur les grands problèmes : retraite, éducation, sécurité.
Après l'euphorie d'une dévaluation, vient le temps de l'addition. Faits divers, statistiques, comparaisons internationales, rapports enterrés. De la recette d'Aznar au miracle irlandais, de l'horreur du Kosovo à l'affaissement de la droite, Griotteray analyse l'essentiel, sans céder au politiquement correct. Indispensable pour comprendre la méprise Jospin.

"UNE IDEE CERTAINE DE LA FRANCE" Editions France Empire (1998)
Alain Griotteray, qui s'éveille tous les matins en se demandant comment sauver la France, a posé la question aux générations qui suivent la sienne. Il a réuni les réponses dans ce recueil : un économiste renommé côtoie une philosophe personnaliste, un défenseur hardi de la liberté, une plume qui monte, un grand reporter, des essayistes de talent, des magistrats engagés, un avocat réputé, un apprenti normalien, un universitaire de vingt ans. Chacun a répondu, selon son tempérament, avec passion ou avec humour, faisant part de ses doutes et de ses espérances. L'ensemble débouche sur une idée certaine de la France.
Avec les participations d’Éric Zémour, Paul-Marie Coûteaux, Harold Labesse, Véronique Grousset, Chantal Delsol, Didier Gallot, Robert Colonna d'Istria, Jean-Jacques Rosa, Jean-Christophe Mounicq, Georges Fenech, Alexandre del Valle, Christian Jelen, Stéphane Hoffmann, Gilles William Goldnadel, Hugues Anselin-Hémery, Alain Paucard. Alain Griotteray est convaincu qu'il existe encore des jeunes gens qui, tels ceux de 1940, animés d'une égale passion pour leur pays, "seraient prêts aux mêmes sacrifices si la France était à nouveau menacée de s'éteindre".

"Mémoires Aimer et servir la France" Editions du Rocher (2004)
Dans ces mémoires, on voit successivement défiler le Paris estudiantin de l'entre-deux-guerres, dominé par l'Action française de Maurras, la guerre, l'Exode, l'Occupation et le lumineux sursaut incarné par les premiers résistants. Dans la période qui suit le deuxième conflit mondial, les guerres coloniales et la décolonisation sont à l'honneur, de même que le retour au pouvoir du général de Gaulle, dont Alain Griotteray fut toujours un fidèle.

"Les raisons de ma colère" Editions du Rocher (2002)
La colère envahit Alain Griotteray chaque fois que son pays gâche son potentiel, lorsque se confirme qu'à force d'assistanat généralisé et de matraquage fiscal, le français est devenu un pauvre de l'Union européenne (douzième niveau de vie sur quinze). Colère quand la violence est multipliée par quatre en vingt ans, quand nos forces de l'ordre se font tirer comme des lapins. Colère d'entendre les jeunes Français maghrébins siffler La Marseillaise au stade de France. Colère contre ceux qui refusent de voir les liens entre l'islam, l'islamisme et la guerre. Colère contre l'abandon de la Corse. Colère contre les soixante-huitards et autres trotskistes qui, jour après jour, en masquant les vérités qui dérangent, sapent les fondements de la nation. Colère contre les falsificateurs de l'histoire qui, à coup de repentances, démoralisent le peuple. Colère contre la droite molle et la gauche folle qui, d'erreurs en lâchetés, conduisent la France sur la pente d'un déclin auquel il ne se résoudra jamais.

"Je ne demande pas pardon" Editions du Rocher (2001)
Alain Griotteray reprend le flambeau du gaullisme indépendant pour un nouveau combat. Un combat pour l'Histoire. Au travers des visions "hémiplégiques" de la guerre ou de la décolonisation, il met à nu les mécanismes du dédain français. La détestation du passé de notre pays est devenue la manière la plus commune d'éviter de réfléchir. Sauf à réagir, on ne construira pas l'avenir sur un tel rejet, mais on se fabriquera un vrai déclin

"VOYAGE AU BOUT DE L'ALLEMAGNE L'Allemagne est inquiétante" Editions du Rocher (1999)
(en collaboration avec Jean de Larsan)
Faut-il avoir peur de la Grande Allemagne ? Depuis un Siècle, l'ignorance des réalités allemandes a précipité la France dans toutes les tragédies qu'a connues l'Europe. Tour à tour séduits par le romantisme germanique ou fascinés par l'efficacité allemande, les Français n'ont opposé que leur faiblesse et leur rêve au dynamisme de leur voisin. Après la chute du IIIe Reich, ils ont vu avec surprise, sympathie et admiration le relèvement et l'avènement de la démocratie en République fédérale. Ils ont applaudi à la chute du mur, sans tirer les conclusions de l'unification. Les deux auteurs sont allés au c½ur de l'Allemagne, mettent à nu son histoire, sa géographie, ses habitants, ses hommes politiques, leur stratégie, leurs peurs comme leurs arrogances. Ils décortiquent le nouveau pangermanisme, pacifique et tranquille et mettent en garde la France devant la nouvelle bourde historique qu'elle est en train de commettre, en se livrant corps et âme à une Europe fédérale.

"LA DROITE MOLLE Chronique d'une déroute méritée" Editions Plon (1997)
Suite à la désastreuse dissolution de 1997 où la droite, qui tenait tous les leviers ( l'Elysée, l'Assemblée, le Sénat) a basculé dans le précipice, Alain Griotteray a voulu voulu dresser une sorte de portrait éclaté de cette droite telle qu'il a appris à la connaître au fil des ans, avec ses qualités, ses défauts, et surtout cette pente fatale qui la pousse si souvent à avoir honte d'être ce qu'elle est : "Si mon livre permet à la droite de se ressaisir un tant soit peu, il n'aura pas été inutile".

"Diên Biên Phu, Pourquoi en est-on arrivé là ?" Editions du Rocher (2004)
Voilà maintenant un demi-siècle, loin, très loin de la France, Diên Biên Phû tombait. Dix ans à peine après s'être couverte de gloire pendant les campagnes d'Italie, de France et d'Allemagne, l'armée française subissait, à nouveau, une défaite cuisante. Cette défaite, qui annonce la mort prochaine de la IVe République condamnée par l'instabilité ministérielle, marque la fin d'une époque d'innocence. L'innocence d'une France libérée du joug de l'occupant, d'une France restaurée dans sa souveraineté nationale et forte des valeurs humanistes de la Résistance. Or c'est cette France qui, à l'occasion des guerres de décolonisation, va faire la triste expérience de l'incompatibilité entre les valeurs " civilisatrices" de la IIIe République et les valeurs " régénératrices " de la IVe. Tout cela, Alain Griotteray le conte avec passion, avec fougue, avec toute la force du patriotisme intransigeant qu'on lui connaît. Témoin engagé, et ô combien agissant, des événements de ce temps, l'auteur offre avec cet ouvrage une mise en perspective indispensable à la compréhension exacte de l'issue du combat de Diên Biên Phû. Le lecteur découvre ainsi, au fil des pages, les man½uvres du personnel politique et militaire de la IVe République, les aspirations des élites vietnamiennes occidentalisées, les complots tramés à la cour de l'infortuné empereur Bao Dai. Par ailleurs, l'ouvrage permet aussi d'assister à l'ascension irrésistible de Ngo Dinh Diem, autre dirigeant vietnamien de premier plan au destin funeste. Ecrit sans nostalgie et sans ranc½ur, mais avec une conscience aiguë des nombreuses occasions manquées, Diên Biên Phû est un livre indispensable à tous ceux que l'histoire récente de la France passionne.

Alain Griotteray a également participé àux ouvrages suivants :

- "Le patriotisme des Français sous l'Occupation" (François-Georges Dreyfus, Editions de Paris, 2000), qui rassemble de nombreux témoignages et contributions et montre que la grande majorité des Français était anti-allemands. Alain Griotteray y décrit la naissance des réseaux de résistance.

- "Le Livre blanc de l'armée française en Algérie" (ouvrage collectif, Editions Contretemps). Cet album est dû à l'initiative d'officiers de réserve qui ont fait appel à des historiens reconnus, à des acteurs et à des témoins indiscutés et indiscutables, à des écrivains et des journalistes de talent. Cet ouvrage ne prétend pas faire l'histoire de la guerre d'Algérie, dont il se contente d'éclairer des aspects mal connus, oubliés ou contestés. On y trouve notamment des écrits de Hélie de Saint-Marc, Jean-Yves Alquier, des généraux Schmitt, Gillis, Meyer et Morillon, des commandants Oudinot et Guillaume, de Michel Déon, François Gibault, Vladimir Volkoff, Stéphane Denis, Tixier-Vignancour et Jean-Marc Varaut. Alain Griotteray y rédige une contribution contre les porteurs de valises du FLN et leurs soutiens en France.

- "LE CRAPOUILLOT (n° 68 : La bataille de Paris" février mars 1983. Articles de J. Roberto, Alain Griotteray, Dominique Jamet, J. Montaldo, etc.

- "Géopolitique - n°53", printemps 1996, "Du bon usage du referendum" - La réforme constitutionnelle française qui étend le champ référendaire s'adapte à la question posée par l'introduction de la monnaie unique.


CITATIONS

" Le Général de Gaulle a pris le parti de transformer les structures, pour le moins fatiguées, de notre pays? C'est la voie des réformes. C'est la tâche d'une génération, c'est la seule qui puisse éviter les révolutions dont mai 1968 était les prémices."
Alain Griotteray (déclaration citée dans Le Monde du 12-4-69).

""Fermer ma gueule"n'a jamais été mon fort. Depuis 1940, je ne me suis plié qu'à une seule discipline : celle du courage et de la vérité."

"L'autre loi Gayssot, immatérielle celle-là, présente l'intérêt supplémentaire d'être rétroactive : elle travaille à revisiter l'Histoire. Elle inspecte les écrits et les dires du temps jadis, se moque des anachronismes, et tranche du bien comme du mal. Au point d'instaurer une nouvelle morale bourgeoise, bien plus forte que la morale victorienne : les bons sentiments y règnent en maîtres, l'hypocrisie et la lâcheté aussi."
Alain Griotteray dans le Figaro

"Aujourd'hui, nous avons devant nous quelque chose que j'ai appellé la "droite molle" , qui est en train de devenir une "droite folle", et qui fait tout sauf s'opposer. Et quand elle fait des passerelles - et on m'accuse de faire des passerelles entre la droite et le Front national -, elle, c'est avec le Front républicain, les passerelles avec la gauche. Ce n'est pas la droite, c'est la "nouvelle gauche » : une nouvelle gauche mollassonne, au centre,le marais..."
Alain Griotteray le 06 juin 1998


[sources:
http://courtoisie.forumactif.com/viewtopic.forum?t=88
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alain_Griotteray ]


 

 

 

Libre Journal du mercredi midi, toutes les 4 semaines

 

catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00


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Catherine Gourin, 55 ans, est mariée et mère de 3 enfants. Elle est née en Algérie, et a beaucoup vécu à l'étranger, surtout aux Etats Unis, puis est devenue fonctionnaire sur le tard, en rentrant en France. Elle a travaillé, entre autres, comme conférencière des Monuments Historiques, et chez un petit éditeur.

Depuis sa première émission à Radio Courtoisie, en décembre 1987, elle ne s'est fixée qu'une ligne : essayer de faire parler des gens passionnés, et de les rendre passionnants...

 


 

 

 

Libre Journal du vendredi midi, toutes les 3 semaines

 

catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00


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Roger Saboureau est ancien officier et journaliste. Il est administrateur du Secours de France (http://www.secoursdefrance.fr)

 

des émissions en écoute :
http://info.secoursdefrance.fr/rubrique.php3?id_rubrique=28


 

Libre Journal du lundi midi toutes les 4 semaines

 

catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00

 

 
 (avec Teresa Berganza)

 

Jean Darnel est acteur, metteur en scène, directeur artistique, professeur, conférencier.

Il a grandi dans les années 30 à Bayonne, dans un milieu modeste.

Il a créé les nouvelles Chorégies d’Orange (avec Jacques Bourgeois), les Fêtes Romantiques de Nohant (dont il sera directeur artistique jusqu’en 1990), Musique en Côte Basque (qu'il dirige toujours depuis... 1960). Directeur de l'Ecole Supérieure d'Art Dramatique de la ville de Paris (ESAD) et inspecteur des Conservatoires, il a créé avec l'aide de l'Etat et de la ville de Paris L'Association pour l'Insertion Professionnelle des Jeunes Artistes (IPJA) qu'il a dirigée pendant 22 ans. Il garde un cours privé (créé avec Jacques Charon en 1966), mais qui est actuellement suspendu.

  

les Chorégies d’Orange
http://www.choregies.asso.fr

 

les Fêtes Romantiques de Nohant
http://www.pays-lachatre-berry.com/nohant/sand/

 

Musique en Côte Basque
http://www.musiquecotebasque.asso.fr

 

Ecole Supérieure d'Art Dramatique de la Ville de Paris
http://esadparis.free.fr

 

Association pour l'Insertion Professionnelle des Jeunes Artistes (musiciens et chanteurs classique, comédiens)
47, rue Guersant
75017 PARIS
tel 01 40 68 74 15
fax 01 40 68 73 51

 

 


 

Libre Journal du Spectacle, le mardi à midi, toutes les 4 semaines

 

catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00


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Marie-Thérèse Hablot enseigne le français dans un collège/lycée privé catholique.

 


 

 

Livre du Jour du vendredi, toutes les 2 semaines

 

catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00

 


Il aurait voulu enseigner l’histoire ; depuis 1978 il la vit, et parfois la fait. Faisant fi de sa timidité naturelle, et bridant son tempérament de gaffeur, il avance à marche forcée. Sous ses airs d’enfant sage, Martial Bild est un fonceur. Qui n’a qu’une détestation : les idées molles.

Levons d’abord un mystère : le patronyme de Martial Bild est d’origine sarroise, du nom de la Sarre, land allemand limitrophe de la France et du Luxembourg et qui ne fut définitivement rattaché à la République fédérale d’Allemagne qu’en 1957 après avoir été, plusieurs décennies durant, l’objet d’un vif contentieux entre la France et l’Allemagne.

La famille Bild ayant émigré, c’est dans le XVIIe arrondissement de Paris, où ses parents sont commerçants, que Martial vient au monde le 12 novembre 1961 alors que la France vit au rythme de ce que l’on appelle les « évènements » d’Algérie.

Une jeunesse parisienne

Issu d’un milieu modeste, il effectue son primaire dans l’école publique de la rue Legendre, puis intègre le lycée Carnot, où il restera jusqu’à l’obtention de son baccalauréat, section D. Parallèlement, il est scout, dans la troupe de Saint-Charles-de Monceau. Il y découvre un sens de l’ordre qui lui convient, et dont il va se faire à son tour le propagandiste à Carnot, « en réaction à ce milieu gauchiste et friqué » dont il ne supporte plus l’hypocrisie… mais qu’il n’a pas fini de côtoyer.

Le moment venu de se lancer dans les études supérieures, c’est en effet à la faculté de Tolbiac qu’il se retrouve, laquelle n’a pas précisément la réputation d’être un fief réactionnaire, alors que les lectures de Martial, elles, le sont déjà bel et bien. Rêvant de pouvoir enseigner un jour l’histoire, il a pour modèle Jacques Bainville (1879-1936), qui fût l’un des historiens les plus lucides de son temps.

C’est à Tolbiac qu’il fera la connaissance de Car Lang, venu parfaire ses connaissances historiques, alors que Martial se passionne, lui, pour la polémologie – l’étude des causes des guerres - , une spécialité dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’a pas cessé d’être utile à la bonne compréhension des évènements internationaux…

Martial a quinze ans quand son père, homme de droite et militant de la cause nationale, qui était l’un des rares à soutenir Jean-Marie Le Pen en 1974, est très prématurément enlevé à son affection. Mais les valeurs qu’il a inculquées à son fils demeurent, et celui-ci commence à s’intéresser à la politique.

Premières armes

En 1978, il rejoint le Front de la Jeunesse (FJ) qui dépend du Parti des forces nouvelles (PFN) que dirigent Roland Hélie, Jack Marshal et Pascal Gauchon, et effectue non sans panache ses premières distributions de tracts dans son propre lycée. Et en septembre 1980, il adhère au Front national, malgré la pression de ses camarades qui trouvent Le Pen « ringard » et s’efforcent de le convaincre de rester au PFN qui leur paraît plus moderne et donc promis à un plus brillant parcours… Ils ont beau argumenter, Martial ne partage pas leur analyse : « Jean-Marie Le Pen me paraissait plus apte à construire l’avenir. Le Front National me semblait plus sérieux, plus efficace, et j’en avais assez de mener de petites actions qui ne débouchaient sur rien. »

Allant sur ses 19 ans, Martial est aussitôt orienté vers le Front national de la jeunesse (FNJ). Il refuse : « Je cherche une structure pour faire de la politique. Au FNJ, on déconne trop ! » Vu comme ça… Il a rencontre André Dufraisse, responsable du Front national sur Paris. Ce fidèle ami de Jean-Marie Le Pen, cofondateur du FN l’accepte « parmi les grands ». Mais ce n’est que partie remise de quelques mois. Car en juin 1981, Martial est, contre son gré, bombardé à la tête du FNJ pour le XVIIe arrondissement. Il en deviendra l’année suivante le responsable parisien, puis, en 1983, couvrira l’ensemble des activités du FNJ d’Ile-de-France.

A Tolbiac, Martial a très vite été identifié. Il ne peut plus guère accéder au campus sans être interpellé – quand il n’est pas franchement insulté ou agressé. Le Front national, de son côté, commence à se développer et Martial subi ce qu’il appelle «un coup du destin»...

Lors d’une partie de tennis, son genou a lâché. Trois interventions chirurgicales ont été nécessaires, qui n’ont pas suffi à redonner toute sa capacité à son articulation. Aussi lorsque survient l’examen d’aptitude à effectuer son service militaire, Martial est déclaré bon…pour rester chez lui. Si la France ne veut pas de lui pour prendre les armes, qu’est-ce qui lui interdit d’effectuer quand même un service national ? Ainsi opte-t-il pour un « service civil »… au sein du Front national.

A la demande de Michel Collinot, il devient l’un des premiers permanents du Front national et est enrôlé pour se lancer dans sa première campagne électorale, comme militant mais aussi comme candidat. En 1983, Martial figure en effet sur la liste conduite par Jean-Marie Le Pen dans le Xxe arrondissement de Paris. Une campagne mémorable puisqu’elle va être marquée par l’élection de Jean-Marie Le Pen comme conseiller d’arrondissement, et entraîner l’envol du Front national.

Nuit et jour, ce sont collages et tractages qui se chevauchent avec sa fonction d’animateur de Radio Le Pen. Martial, qui est l’homme à tout faire, ne s’en plaint pas. Il n’y a pas de meilleure école de formation : « J’ai appris à coller et à tracter, mais aussi à écrire et à communiquer, à trouver les meilleurs moyens de faire passer des messages politiques. »

En 1984, le Front national tient congrès à Quarré-les-Tombes dans le Morvan. L’objectif est de remodeler les structures du mouvement, de les adapter à son décollage électoral, à l’afflux de nouveaux adhérents et aux besoins qui en découlent, ce qui va notamment se traduire par l’instauration de directions nationales, devenues depuis les délégations nationales.

Le Front National de la Jeunesse

L’ordre du jour du congrès ne comporte rien qui concerne le Front national de la jeunesse. Il n’est prévu, ni de l’intégrer officiellement dans les structures du FN, ni même d’en évoquer le fonctionnement. Carl Lang et Martial Bild, qui font office de dirigeants nationaux de fait du FNJ, n’entendent pas rester en marge de la restructuration et s’invitent aux débats. Bien leur en prend : une direction nationale du FNJ est officiellement créée. Carl Lang reçoit la charge de mettre en place les structures locales et de superviser le service d’ordre ; Martial Bild assumera toute la gestion administrative et fonctionnelle du FNJ. Il sera aussi à l’origine de quelques-unes de ces actions de propagande qui vont marquer l’histoire du Front national.

L’une des plus célèbres date de 1985. Sous la direction apparente d’Harlem Désir, et sous celle, effective, de Julien Dray, l’organisation SOS Racisme, a réussi à mobiliser l’intelligentsia, les médias et une large part de la jeunesse de France autour du slogan Touche pas à mon pote ! Le badge à la main jaune est devenu le signe de reconnaissance des «antiracistes» qui sont d’abord des antilepénistes. Désireux de ne pas laisser le terrain monopolisé par l’adversaire, Martial cherche une idée qui permette au FNJ d’opérer une contre-offensive. La lecture d’un article du quotidien Présent la lui fournit. De l’injonction : Touche pas à mon peuple ! il va faire le mot d’ordre d’une génération de jeunes militants frontistes.

Le succès de « cette riposte violente » à la propagande de SOS Racisme, selon l’expression employée par Le Nouvel Observateur qui a décidément une conception très personnelle de la brutalité, dépassera toutes les espérances de son concepteur. En quelques semaines, 50 000 exemplaires du badge seront vendus, pour le plus grand profit de son fabricant – qui n’était autre que celui-là même qui produisait les mains jaunes de SOS Racisme ! -, et pour celui du FNJ, qui put ainsi accélérer son développement et se doter de nouvelles structures en province.

« Cette campagne, reconnaît Martial Bild, a marqué le véritable décollage du FNJ », dont la première université d’été se tient, cette même année 1985, dans la salle de la Mutualité à Paris en présence de cent vingt cadres. « Pour pouvoir loger tout le monde, il avait fallu réserver des chambres. Nous en avions retenu certaines dans des hôtels proches de la rue Bernoulli, en faisant plus attention au prix qu’à la bonne tenue de l’établissement. Moyennant quoi certains se sont retrouvés logés…dans des hôtels de passe ! »

L’année suivante, c’est dans le château que le Cercle national des combattants de Roger Holeindre vient d’acquérir à Neuvy-Sur-Barangeon qu’est organisée, en septembre, la deuxième université d’été. Pour le confort, on reste toutefois dans le rustique. Le château étant en travaux, les sessions se tiennent dans les écuries. Les cadres dorment dans de vastes dortoirs de 50 lits, les douches sont à l’extérieur, l’eau est froide et l’électricité ne fonctionne pas !

« Dans ce type de situation, certains se demandent au début ce qu’ils sont venus faire dans cette galère. Mais au final, ils n’en gardent que les bons souvenirs. »

Fort des succès obtenus à la tête du FNJ, Martial est élu en 1985, lors du congrès de Versailles, au comité central du Front national, et prend en 1986 la responsabilité totale du FNJ et fait son entrée au Bureau politique. Il la conservera jusqu’en 1992.

Premiers mandats

Et depuis 1983, il n’a manqué aucune occasion de se porter candidat à tous les scrutins municipaux, législatifs et régionaux. En 1989, il a été élu Conseiller municipal de Rosny-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. Les électeurs l’ont reconduit en 1995. Mais en 2000, lorsqu’il a été nommé secrétaire départemental de Paris du Front national, en remplacement de Martine Lehideux, il a préféré passer la main. Mieux vaut laisser d’autres agir que de vouloir tout faire soi-même, de ne pas y parvenir et de décevoir.

En 1992, il a également été élu Conseiller régional d’Ile-de-France, la liste qu’il conduisait en Seine-Saint-Denis ayant recueilli près de 20 % des suffrages. Il l'est toujours mais élu depuis 2004 sur la liste parisienne.

L’un de ses plus beaux souvenirs de campagne date des élections législatives de 1993, lorsque, candidat en Seine-Saint-Denis contre Robert Pandraud, ministre de la Sécurité publique de Jacques Chirac sous la première cohabitation – et passé à la postérité pour avoir déclaré, après la mort de Malik Oussekine durant les manifestations étudiantes de décembre 1986 : « Si j’avais un fils sous dialyse, je l’empêcherais d’aller faire le con dans les manifs » - il obtient près de 25 % des suffrages et accède au second tour.

Un acteur de premier plan

Adjoint, depuis 1997, de Bruno Gollnisch au secrétariat général puis à la délégation générale du Front national, devenu, quelques semaines après la crise de 1998, rédacteur en chef de Français d’abord, Martial Bild est aussi, et même d’abord, le responsable de la communication interne du Front, ce qui lui vaut d’avoir l’une des voix les plus connues du FN, grâce à Audiotel, et ce qui, surtout, vaut au Front national de n’avoir manqué aucune des révolutions technologiques.
« Ma passion pour les nouvelles technologies, explique Martial Bild, est née d’un constat politique : les vecteurs officiels de l’information forment tous des prismes ou des kaléidoscopes déformant volontairement les idées du Front national. D’où la nécessité de créer les moyens d’instaurer une communication directe avec nos compatriotes, en contournant la presse écrite ou audiovisuelle institutionnelle. Je dois dire que j’ai été aidé par un précurseur : Michel Collinot, qui eut l’idée astucieuse d’utiliser les moyens de la téléphonie pour diffuser un message politique. Ce fut Le Pen Infos qui, vingt-trois ans après sa création, demeure un outil important dont le FN est le seul parti à disposer. L’utilisation des nouvelles technologies nécessitant des investissements, il va de soi que rien n’aurait pu se faire sans l’aval de Jean-Marie Le Pen. Or non seulement il m’a toujours apporté une aide précieuse, mais en grand professionnel de la communication qu’il n’a jamais cessé d’être – il ne faut pas oublier qu’il a fondé la Serp -, il a toujours soutenu les projets visant à utiliser les procédés les plus modernes pour diffuser les idées nationales. »

C’est ainsi que le Front national a été précurseur dans plusieurs domaines. Il a été le premier mouvement en France à retransmettre des meetings par satellite à travers tout le pays ; le premier à distribuer à grande échelle des cassettes audio puis vidéo lors des campagnes électorales ; le premier à être présent sur le minitel avec le 3615 FN ou le 3615 LEPEN qui fonctionnent toujours ; le premier à s’engouffrer dans les progrès de la téléphonie en se dotant d’un serveur Audiotel.

La plus grande fierté de Martial est d’avoir anticipé sur le développement exponentiel d’internet. « Le Front national, là encore, a battu d’une courte tête les Verts, et a été le premier en France à apparaître sur cette toile mondiale dont nous connaissons les défauts et les dangers mais qui nous permet de rayonner à travers le monde et de le faire, pour l’instant encore, librement. »

N’a-t-il jamais éprouvé la tentation de faire autre chose ? De rester au Front, bien sûr, comme militant, comme cadre, comme élu, mais d’aller gagner sa vie ailleurs ? De se lancer dans des projets professionnels plus personnels ? « Le Front national est très possessif, et l’on finit par se croire indispensable » répond–il en riant. S’il en avait le temps et les moyens, il sait cependant ce qu’il aimerait faire. Créer « le Télérama de droite, en moins chi…, euh, ennuyeux ! » Car « l’influence de la télévision et le poids des médias méritent que nous ayons notre support pour véhiculer nos propres idées ». Concevoir des journaux pour les enfants, tenter de bâtir un « contre Bayard », par référence au groupe Bayard Presse, ne serait pas non plus pour lui déplaire.

Marié depuis 1990 à Patricia avec laquelle il a trois enfants : Andréas, Baptiste et Emilia-Marie, Martial n’a rien perdu de ses idéaux, ni de sa motivation : « Je hais les idées molles ! » Et qu’importe si, lors des vacances en famille à La Baule, sa notoriété leur vaut parfois quelques désagréments, comme de retrouver la tente de plage taguée de quelques insultes : « Vingt ans de militantisme, ça vous forge le caractère. »

 

[source: http://www.fnparis.com/bild.html]


 

 

Libre Journal de 18h, tous les 4 mercredis

 

catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00

 

 

Jean Sévillia, né à Paris en 1952, est un écrivain, historien et journaliste français.

 

Biographie

Journaliste depuis 1978, Jean Sévillia entre en 1981 au Figaro Magazine dont il devient en 1994 rédacteur en chef adjoint du service culture. Politiquement classé dans le camp des conservateurs, il a fait notamment parler de lui avec son ouvrage Historiquement correct, qui revenait sur un certain nombre de lieux communs de l'histoire de France.

Il est lauréat du Prix Hugues Capet en 1997 pour Zita impératrice courage et du Grand Prix catholique de littérature en 2004 pour Historiquement correct.

Catholique, il s'attache dans ses écrits à combattre les clichés et les préjugés intellectuels et historiques, notamment en ce qui concerne l'Église.

Il est président de Jury du "Prix du livre incorrect", créé en 2006.

 

Œuvres

"Le Chouan du Tyrol", Andreas Hofer contre Napoléon, Perrin, 1991 (biographie)

"Zita, impératrice courage", Perrin, 1997 (biographie)

"Le Terrorisme intellectuel, de 1945 à nos jours", Perrin, 2000 (essai)

"Historiquement correct. Pour en finir avec le passé unique", Perrin, 2003 (essai)

"Quand les catholiques étaient hors-la-loi", Perrin, 2005 (essai)

 

site officiel :
http://www.jeansevillia.com

 

 

[source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_S%C3%A9villia]

 

http://penseeunique.com/PU/auteurs/sevillia.html
http://www.librairie-gaia.com/Archives/JeanSevillia/JeanSevillia.htm

 


 

 

 

Libre Journal de 18h, un vendredi sur 4

 

catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00

Benoîte Taffin

 

Benoîte Taffin est une femme politique française et militante associative née le 30 janvier 1948. Elle est porte parole de Contribuables associés et ancienne maire du 2e arrondissement de Paris.

Elle est mère de huit enfants.



Études

Benoîte Taffin est diplômée de HEC filles Paris.


Parcours politique

Benoîte Taffin commence sa carrière politique à l'occasion des élections municipales de 1983 où elle est élue conseillère municipale sur la liste UDF d'Alain Dumait dans le 2e arrondissement de Paris. Elle devient adjointe au maire. Parallèlement, elle est présidente des adhérents de l'UDF Paris.

En 1989, la liste UDF-RPR menée par Alain Dumait est réélue et Benoîte Taffin devient la première femme Maire d'un arrondissement de Paris.

En 1995, le RPR impose Mme Anglade comme tête de liste dans l'arrondissement. Benoîte Taffin présente alors une liste divers droite dissidente qui emporte l'élection très largement (plus de 58%). La popularité de la maire se renforce.

En 2001, Benoîte Taffin présente à nouveau sa liste divers droite face à la fois à un candidat séguiniste, Franck Giovannucci et une candidate tibériste, Marie-Christine Lasnier. Sa liste arrive en tête des listes de droite au premier tour. Mais la vague socialiste qui traverse la capitale permet à la liste du candidat de la gauche unie Pierre Schapira de l'emporter avec 51,82% contre la maire sortante, qui semblait favorite des sondages. Alors que le Vert Jacques Boutault s'installe à la mairie, Benoîte Taffin décide de se retirer de la vie politique pour se consacrer pleinement à l'association dont elle est alors présidente, Contribuables associés.


Mandats

1983-1989 : Adjointe au maire du 2e arrondissement de Paris (UDF).
1989-1995 : Maire du 2e arrondissement de Paris (UDF-RPR).
1995-2001 : Maire du 2e arrondissement de Paris (Divers droite).


Carrière associative

En 1990, elle est membre fondatrice de l'association Contribuables associés. Elle en devient Présidente de 1996 à 2002, puis porte-parole depuis 2002.

Elle a également été présidente de 1998 à 2001 de l’association Femmes libertés à Paris, une association de femmes soutenant les idées de droite libérale dans les élections parisiennes.

Depuis début 2007, elle co-anime du Libre Journal des Contribuables sur Radio Courtoisie (tous les 4 mardis, à 18h)



Contribuables associés
http://fr.wikipedia.org/wiki/Contribuables_associ%C3%A9s



[source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Benoite_Taffin]

 

catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00

 

 

 

Pierre Debray-Ritzen (né en à Paris le 27 février 1922 - mort le 7 juillet 1993) était un médecin et un écrivain français. Son véritable nom était Pierre Debray, auquel il adjoignit celui de sa mère pour se créer un nom de plume et de combat.

De 1972 à 1988, il dirigea le service de pédopsychiatrie à l’Hôpital Necker Enfants Malades de Paris. A partir de 1974, il fut aussi professeur à la Faculté de Médecine de Paris. Il était aussi correspondant de l'Institut de France (Académie des Beaux-Arts).

Il est le père de Quentin Debray, professeur de psychiatrie à l'Université de Paris V (René Descartes) et chef de service à l'Hôpital Corentin-Celton (Issy-les-Moulineaux).

Pierre Debray-Ritzen est également l'oncle de l'écrivain Régis Debray.


Dans la lignée de Claude Bernard, à qui il consacra une biographie, il s’attachait à rechercher les causes physiologiques de certaines maladies psychologiques de l’enfant. C’est ainsi que, s’intéressant particulièrement à la dyslexie, il affirmait : « Le facteur génétique est indéniable. »

Dans ce cadre, en partisan de la méthode expérimentale, il s’opposa vivement à la psychanalyse :

« On sait combien se prend et se fige en nous une croyance; comment elle s'engraisse en interprétant chaque nouveau fait, en l'assimilant, en faisant de lui sa propre substance...Ainsi l'idée fausse et toute faite projette-t-elle sa propre lumière en aveuglant toute autre notion qui pourrait la contredire. Une scolastique est dès lors en marche qui apporte le déroulement confortable de sa logique et l'habitude de son vocabulaire. Rien ne peut l'arrêter, sinon précisemment ce doute exigé sans cesse par le raisonnement expérimental - au sens bernardien - et dont on apprécie, en l'occurence, la nécessité fondamentale. » (in La Psychanalyse cette imposture, 1991)

Pierre Debray-Ritzen était aussi un amateur d’art et de littérature. Il citait souvent une phrase de Lawrence Durell : « Chaque sens supporte un art ».

Il anima régulièrement une émission à Radio Courtoisie. Cette émission était intitulée : "L'art littéraire". Il y exprima son admiration pour la littérature russe, notamment pour Gogol, Tolstoï et Dostoïevski. Il y fit également connaître l'écrivain serbe Dobritsa Tchossitch.

Pierre Debray-Ritzen était lui-même écrivain. Il a, entre autres, rédigé deux volumes de mémoires, L'usure de l'âme et Jusqu'à la corde, dans lesquels il évoque sa jeunesse, ses études de médecine, ses combats en faveur des enfants. Il y fait part de ses goûts littéraires et artistiques et de sa philosophie de la vie. Il y exprime aussi son attachement à ses amis, les "francs compagnons", au nombre desquels figure Jean Ferré.




Bibliographie

L'odeur du temps, roman, Casterman, 1963

Le défi aux étoiles, Plon, 1964

Les nervures de l'être : Éléments d'une psychologie de la littérature, Editions Rencontre, 1967

La dislexie de l'enfant. origine, dépistage, mesure, rééducation, Casterman, 1970

Un final vénitien, Fayard, 1971

Génétique et Psychiatrie, Fayard, 1972

Les troubles du comportement de l'enfant, Fayard, 1973 (avec B. Melekian)

La scolastique freudienne, Fayard, 1973

Psychologie de la littérature et de la création littéraire, Éditions Retz, 1977

Lettre ouverte aux parents des petits écoliers, Albin Michel, 1978 (prix Chateaubriand 1978)

Psychologie de la création : De l'art des parfums à l'art littéraire, Albin Michel, 1979 (prix Bernier 1980 de l'Académie des Beaux-Arts)

L'usure de l'âme, mémoires, Albin Michel, 1980

Les cahiers de Tycho de Leyde artiste peintre, 1649-1702, Albin Michel, 1982

Ce que je crois, Grasset, 1983

Conversations dans l'univers, Albin Michel, 1986 (avec André Brahic)

Arthur Koestler. Un croisé sans croix, Editions de L’Herne, 1987

Jusqu’à la corde, mémoires, Albin Michel, 1989

Georges Simenon, romancier de l'instinct, Éditions Favre, 1989

La mort en moi, roman, L’Age d’Homme, 1990

La psychanalyse, cette imposture, Albin Michel, 1991

Claude Bernard ou Un nouvel état de l'humaine raison, Albin Michel, 1992

 

[source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Debray-Ritzen]


 

 

 

rediffusion de ses Livres du Jour mercredi à 10h45 toutes les 2 semaines

 

catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00

 

 





en 2004 :


 

en 2005 :

 

avec sa femme Danièle...




 


 
sa dernière photo publique, à la librairie du Petit Pont :




et il y a quelques années...

 

 

 


 


Serge de Beketch (né le 12 décembre 1946 à Tours, mort le 6 octobre 2007 à Paris) était journaliste, animateur du « décadaire » Le Libre Journal de la France Courtoise, et animateur d'un Libre Journal sur Radio Courtoisie depuis les débuts de cette antenne.


Son grand père maternel était colonel dans l'armée française, son grand père paternel, aide de camp du général Dénikine chef des Armées Blanches en Russie Impériale. Son père, sous officier de Légion étrangère, est mort pour la France à la bataille de Dien Bien Phu. Son histoire familiale conditionne son engagement politique à droite, puis à l'extrême droite, classification à laquelle il préfère celle de “royaliste-tendance-dure”.

Après sa scolarité comme enfant de troupe, il exerce divers emplois comme manoeuvre du bâtiment, vendeur en librairie,etc. En 1966 il entre comme pigiste de la page spectacles et vie parisienne à l'hebdomadaire Minute. En 1970, il est embauché par Havas conseil où il participe a la création d'un département des “médias spécifiques”. Un temps adhérent de la franc-maçonnerie (grande loge de France puis Grande Loge nationale) il s'en éloigne très vite, comme il a eu l'occasion de le raconter à plusieurs reprises. Dès 1969, il a été engagé par René Goscinny comme scénariste pour les pages d'actualité de l'hebdomadaire Pilote. il écrira en outre diverses histoires en bande dessinée et rédigera pour les éditions Publicness les versions françaises des revues américaines "Eerie” "Creepie” et "Vampirella”. Il collaborera également sous le pseudonyme d'Altamont Baker, à la revue internationale de l'image Zoom.

En 1975, Serge de Beketch quitte Pilote dont il désapprouve l'évolution politique et devient chef des informations puis rédacteur en chef en 1979 de Minute. Il le quitte en 1986 à la suite d'un désaccord avec la nouvelle direction et occupe, à la demande de Jean Marie Le Pen, le poste de directeur de la rédaction de National-Hebdo. En 1990, à la demande de Serge Martinez, nouveau propriétaire du titre, il revient prendre la direction de la rédaction de Minute. En 1993, il est démis de ses fonctions par l'équipe qui, ayant racheté le titre à Martinez, le juge trop engagé politiquement. Il fonde alors avec son épouse Danièle son propre journal décadaire Le Libre Journal de la France Courtoise.

Son engagement politique s'est nettement radicalisé avec les années. En 1995, il est directeur de communication de la mairie de Toulon pendant 4 mois, mairie alors détenue par Jean-Marie Le Chevallier (membre du Front National). Il fut également directeur du Patriote du Var.

Serge de Beketch était vice-président de l'Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne (AGRIF) et grand défenseur de Riaumont.

Il est le parrain du fils de son ami ADG, avec lequel il entretint parfois des rapports tumultueux. ADG s'inspira de lui pour camper son personnage fétiche, Serguei Djebitskine, alias "Machin".
(http://chatborgne.canalblog.com/archives/2005/01/index.html)


Personnalité : à l'humour autant féroce qu'adapté aux circonstances, il se jetait à corps perdu dans la défense de certaines causes, comme celle de Mirko Beljanski, de Loïc le Ribault (et son fameux G5, le silicium organique) ; ses émissions étaient rafraichissantes pour qui sait écouter. Il eut de nombreux problèmes avec la justice pour son franc-parler parfois à la limite de ce qu'il est autorisé de dire, et parfois au delà.

Son mot d'ordre : Amis de la résistance, bonsoir !

 

Œuvres :

Déboires d'outre-tombe, avec Loro (1969 éditions Publicness )
Les Aventures de Thorkael : l'Œil du dieu, avec Loro (1976 Éditions Dargaud)
Les Aventures de Thorkael : la Porte de Tai Matsu, avec Loro (1979 Éditions Dargaud)
La Nuit de Jericho, avec Alain Sanders (Éditions des Vilains Hardis, 1989)
Dictionnaire de la colère (recueil de chroniques parues dans Le Libre Journal de la France Courtoise). Paris : Éditions des Vilains Hardis, 2005. 270 pages.
Catalogue des nuisibles, Éditions des Vilains Hardis, 2006, 190 p.

 

Ses publications dans Pilote :
http://www.bdoubliees.com/journalpilote/auteurs1/debeketch.htm

 

Le Libre Journal de la France Courtoise
http://www.francecourtoise.info

 

[source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Serge_de_Beketch modifié et complété]

 


 

 

A propos de Gramsci (http://fr.wikipedia.org/wiki/Antonio_Gramsci) :

« Je suis gramsciste depuis bientôt quarante ans; Je n'ai jamais vraiment compris par quel malentendu Gramsci a rejeté le fascisme qui était la structure sociale la mieux adaptée a son idée fondamentale: l'hégémonisme. Il croyait sans doute être réellement ³conseilliste² c'est à dire, en somme, "soviétique (les conseils d'ouvriers ne sont pas autre chose que des soviets), alors que toute sa sensibilité en faisait, à mon avis, un penseur fasciste au sens plein du terme. En tout cas, je partage tout à fait l'idée qu'une réforme profonde des esprits passe forcement par une prise de contrôle de l'instruction publique à ceci près (c'est plus qu'une nuance !) que cette instruction passe aujourd'hui beaucoup plus par le multi-média que par l'enseignement laïque, public et obligatoire »

 

A propos de sa courte collaboration avec Jean-Marie Le Chevallier à Toulon :

« Cette période a été des plus pénibles et le seul bénéfice que j'en ai titré c'est la conviction renforcée que la démocratie électorale est le plus mauvais système politique possible puisque, comme le disait Nietzsche, il porte au pouvoir ce que Manfred Stricker appelle fort justement les ³kakocrates² c'est a dire les médiocres, les corrompus et les imbéciles. »

 

Un entretien avec Catholique & Royaliste
http://www.geocities.com/catholique_et_royaliste2002/arch1/sdbql.htm

 

Un entretien à Novopress
http://fr.novopress.info/?p=7283

 

Une courte séquence vidéo, au sujet de Mgr Lefebvre
http://www.dailymotion.com/video/x13bi7_mgr-lefevre-raconte_blog



catégorie : » Equipe de la radio
26 juin 2005 7 26 /06 /juin /2005 23:00

 







(en 1987)





(en 2005)




(en 2005)




(en 2006, lors de la Fête de la Courtoisie, sa dernière apparition publique)





(en 2006, lors de la Fête de la Courtoisie, sa dernière apparition publique)



cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Ferr%C3%A9_%28journaliste%29

 

 

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