26 juillet 2010 1 26 /07 /juillet /2010 11:00

 

Anne Brassié, journaliste, écrivain



http://fr.wikipedia.org/wiki/Anne_Brassi%C3%A9

 

 

Murakami et Cie n’ont rien à faire au château de Versailles ! Signez la pétition !

 

 

http://www.versailles-mon-amour.fr

 


 

 

Chouans et Guerre de Vendée

 

 

Dominique Lambert de La Douasnerie, président de l'association "Vendée Militaire"

 

http://blog.rc.free.fr/blog_invites/dominique%20lambert.jpg

Vendée Militaire
2, avenue de la Gare
49123 Ingrandes-sur-Loire
02 41 39 25 36
vendee.militairewanadoo.fr

http://fr.wikipedia.org/wiki/Dominique_Lambert_de_la_Douasnerie

http://fr.wikipedia.org/wiki/Association_Vend%C3%A9e_militaire

 

Jean-Yves Robert-Carteret, avocat, président de l'"Association des Descendants de Chouans et Vendéens"

ADCV

7, boulevard de la Reine

78000 Versailles

01 39 50 52 52

adcvarobase-petit3.gifcarteret.org

http://www.facebook.com/profile.php?id=611369619

 

Eric du Réau, colonel, président de l'"Association des Descendants des Zouaves Pontificaux et Volontaires de l'Ouest"

ADZPVO

8, rue Ronsard
92360 Meudon-la-forêt
06 15 11 49 73

 


 

 

la fable de Jean de la Fontaine du mois

 


LES LOUPS ET LES BREBIS

Après mille ans et plus de guerre déclarée,
Les Loups firent la paix avecque les Brebis.
C'était apparemment le bien des deux partis ;
Car si les Loups mangeaient mainte bête égarée,
Les Bergers de leur peau se faisaient maints habits.
Jamais de liberté, ni pour les pâturages,
Ni d'autre part pour les carnages :
Ils ne pouvaient jouir qu'en tremblant de leurs biens.
La paix se conclut donc : on donne des otages ;
Les Loups, leurs Louveteaux ; et les Brebis, leurs
Chiens.
L'échange en étant fait aux formes ordinaires
Et réglé par des Commissaires,
Au bout de quelque temps que Messieurs les Louvats
Se virent Loups parfaits et friands de tuerie,
lls vous prennent le temps que dans la Bergerie
Messieurs les Bergers n'étaient pas,
Etranglent la moitié des Agneaux les plus gras,
Les emportent aux dents, dans les bois se retirent.
Ils avaient averti leurs gens secrètement.
Les Chiens, qui, sur leur foi, reposaient sûrement,
Furent étranglés en dormant :
Cela fut sitôt fait qu'à peine ils le sentirent.
Tout fut mis en morceaux ; un seul n'en échappa.
Nous pouvons conclure de là
Qu'il faut faire aux méchants guerre continuelle.
La paix est fort bonne de soi,
J'en conviens ; mais de quoi sert-elle
Avec des ennemis sans foi ?

catégorie : LJ Michel de Rostolan
28 juin 2010 1 28 /06 /juin /2010 11:00

 

 

Bruno Gollnisch, député européen, conseiller régional de Rhône-Alpes, vice-président du Front national, professeur des universités



http://www.gollnisch.com

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bruno_Gollnisch

 

André Pertuzio, conseiller honoraire du Commerce extérieur de la France, collaborateur de la revue Géostratégiques



http://www.strategicsinternational.com

 

Irène Saint-Georges (?), journaliste au Choc du Mois

 



http://www.lechocdumois.fr

http://blogchocdumois.hautetfort.com

 


 


la fable de Jean de la Fontaine du mois

 


LE LIEVRE ET LA TORTUE

Rien ne sert de courir ; il faut partir à point.
Le Lièvre et la Tortue en sont un témoignage.
Gageons, dit celle-ci, que vous n'atteindrez point
Sitôt que moi ce but. - Sitôt ? Etes-vous sage ?
Repartit l'animal léger.
Ma commère, il vous faut purger
Avec quatre grains d'ellébore.
- Sage ou non, je parie encore.
Ainsi fut fait : et de tous deux
On mit près du but les enjeux :
Savoir quoi, ce n'est pas l'affaire,
Ni de quel juge l'on convint.
Notre Lièvre n'avait que quatre pas à faire ;
J'entends de ceux qu'il fait lorsque prêt d'être atteint
Il s'éloigne des chiens, les renvoie aux Calendes,
Et leur fait arpenter les landes.
Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter,
Pour dormir, et pour écouter
D'où vient le vent, il laisse la Tortue
Aller son train de Sénateur.
Elle part, elle s'évertue ;
Elle se hâte avec lenteur.
Lui cependant méprise une telle victoire,
Tient la gageure à peu de gloire,
Croit qu'il y va de son honneur
De partir tard. Il broute, il se repose,
Il s'amuse à toute autre chose
Qu'à la gageure. A la fin quand il vit
Que l'autre touchait presque au bout de la carrière,
Il partit comme un trait ; mais les élans qu'il fit
Furent vains : la Tortue arriva la première.
Eh bien ! lui cria-t-elle, avais-je pas raison ?
De quoi vous sert votre vitesse ?
Moi, l'emporter ! et que serait-ce
Si vous portiez une maison ?

 

catégorie : LJ Michel de Rostolan
31 mai 2010 1 31 /05 /mai /2010 11:00

 

la coûteuse fumisterie des éoliennes : arnaque financière et ravage des paysages français

 

 

Jean-Louis Butré, président de la Fédération Environnement Durable

 

 

http://www.environnementdurable.net

 

Michel Bayvet, ancien membre de la commission de l'environnement au Conseil régional d'Ile-de-France

 

 

 

 

Jean-Louis Butré : "L'Imposture : Pourquoi l'éolien est un danger pour la France"


 

 

[...]

 


 

 

la fable de Jean de la Fontaine du mois


LA MONTAGNE QUI ACCOUCHE

Une Montagne en mal d'enfant
Jetait une clameur si haute,
Que chacun au bruit accourant
Crut qu'elle accoucherait, sans faute,
D'une Cité plus grosse que Paris :
Elle accoucha d'une Souris.

Quand je songe à cette Fable
Dont le récit est menteur
Et le sens est véritable,
Je me figure un Auteur
Qui dit : Je chanterai la guerre
Que firent les Titans au Maître du tonnerre.
C'est promettre beaucoup : mais qu'en sort-il souvent ?
Du vent.

 

catégorie : LJ Michel de Rostolan
3 mai 2010 1 03 /05 /mai /2010 11:00

 

le salaire complet : un instrument de responsabilisation des salariés comme des patrons

 

 

Axel Arnoux, directeur général de Chauvin-Arnoux


 

http://www.chauvin-arnoux.com

http://bastiat.net/fr/cercle/rencontres/Axel.Arnoux.html 

 

Michel de Poncins, économiste, président de Catholiques pour les Libertés Economiques (CLE), animateur de Tocqueville Magazine et de Radio Silence



http://www.liberaux.org/wiki/index.php?title=Michel_de_Poncins
http://rupturepolitique.over-blog.com
http://www.libeco.net
http://www.radio-silence.org


Jacques Bourdu, ancien chef d'entreprise, économiste



http://www.les4verites.com/archives/auteurs-Bourdu-Jacques-83.html

 

Jean Martineau, président du Prix Renaissance de l'Economie, ingénieur civil des Ponts-et-Chaussées
http://cerclerenaissance.info/9.html

 

 

 

Le Prix Renaissance de l'Economie 2010 sera remis à Axel Arnoux le mercredi 26 mai 2010 à 19h30

http://cerclerenaissance.info/9.html

 

 

un article d'Axel Arnoux au sujet du salaire complet

http://www.libres.org/francais/dossiers/salaire%20complet/salaire_complet.htm

 

pour le calculer :

http://www.salairecomplet.com

 


 

 

la fable de Jean de la Fontaine du mois


LE SAVETIER ET LE FINANCIER

Un Savetier chantait du matin jusqu'au soir :
C'était merveilles de le voir,
Merveilles de l'ouïr ; il faisait des passages,
Plus content qu'aucun des sept sages.
Son voisin au contraire, étant tout cousu d'or,
Chantait peu, dormait moins encor.
C'était un homme de finance.
Si sur le point du jour parfois il sommeillait,
Le Savetier alors en chantant l'éveillait,
Et le Financier se plaignait,
Que les soins de la Providence
N'eussent pas au marché fait vendre le dormir,
Comme le manger et le boire.
En son hôtel il fait venir
Le chanteur, et lui dit : Or çà, sire Grégoire,
Que gagnez-vous par an ? - Par an ? Ma foi, Monsieur,
Dit avec un ton de rieur,
Le gaillard Savetier, ce n'est point ma manière
De compter de la sorte ; et je n'entasse guère
Un jour sur l'autre : il suffit qu'à la fin
J'attrape le bout de l'année :
Chaque jour amène son pain.
- Eh bien que gagnez-vous, dites-moi, par journée ?
- Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours ;
(Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes,)
Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours
Qu'il faut chommer ; on nous ruine en Fêtes.
L'une fait tort à l'autre ; et Monsieur le Curé
De quelque nouveau Saint charge toujours son prône.
Le Financier riant de sa naïveté
Lui dit : Je vous veux mettre aujourd'hui sur le trône.
Prenez ces cent écus : gardez-les avec soin,
Pour vous en servir au besoin.
Le Savetier crut voir tout l'argent que la terre
Avait depuis plus de cent ans
Produit pour l'usage des gens.
Il retourne chez lui : dans sa cave il enserre
L'argent et sa joie à la fois.
Plus de chant ; il perdit la voix
Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines.
Le sommeil quitta son logis,
Il eut pour hôtes les soucis,
Les soupçons, les alarmes vaines.
Tout le jour il avait l'oeil au guet ; Et la nuit,
Si quelque chat faisait du bruit,
Le chat prenait l'argent : A la fin le pauvre homme
S'en courut chez celui qu'il ne réveillait plus !
Rendez-moi, lui dit-il, mes chansons et mon somme,
Et reprenez vos cent écus.

 

catégorie : LJ Michel de Rostolan
5 avril 2010 1 05 /04 /avril /2010 11:00

 

racines et permanence du christianisme

 

 

Daniel Racine, chargé de cours en archéologie, spécialiste d'archéologie biblique, écrivain

 

Jean-Paul Argouarc'h, prêtre, directeur du groupement scolaire de la Sainte-Croix de Riaumont


03 21 28 32 09
06 74 34 92 32
http://www.riaumont.net

 

Jacques Arnould, directeur du Chœur Montjoie Saint Denis

 

 

http://www.choeur-montjoie.com

 

 

fut évoqué :

 

 

Daniel Racine : "Lexique d'archéologie biblique et d'histoire de l'Eglise ancienne"

 

 

 

[...]

 




la fable de Jean de la Fontaine du mois


LE LOUP ET LE CHASSEUR

Fureur d'accumuler, monstre de qui les yeux
Regardent comme un point tous les bienfaits des Dieux,
Te combattrai-je en vain sans cesse en cet ouvrage ?
Quel temps demandes-tu pour suivre mes leçons ?
L'homme, sourd à ma voix comme à celle du sage,
Ne dira-t-il jamais : C'est assez, jouissons ?
- Hâte-toi, mon ami, tu n'as pas tant à vivre.
Je te rebats ce mot, car il vaut tout un livre :
Jouis. - Je le ferai. - Mais quand donc ? - Dès demain.
- Eh ! mon ami, la mort te peut prendre en chemin.
Jouis dès aujourd'hui : redoute un sort semblable
A celui du Chasseur et du Loup de ma fable.
Le premier de son arc avait mis bas un daim.
Un Faon de Biche passe, et le voilà soudain
Compagnon du défunt ; tous deux gisent sur l'herbe.
La proie était honnête ; un Daim avec un Faon,
Tout modeste Chasseur en eût été content :
Cependant un Sanglier, monstre énorme et superbe,
Tente encor notre archer, friand de tels morceaux.
Autre habitant du Styx : la Parque et ses ciseaux
Avec peine y mordaient ; la Déesse infernale
Reprit à plusieurs fois l'heure au monstre fatale.
De la force du coup pourtant il s'abattit.
C'était assez de biens ; mais quoi ? rien ne remplit
Les vastes appétits d'un faiseur de conquêtes.
Dans le temps que le Porc revient à soi, l'archer
Voit le long d'un sillon une perdrix marcher,
Surcroît chétif aux autres têtes.
De son arc toutefois il bande les ressorts.
Le sanglier, rappelant les restes de sa vie,
Vient à lui, le découd, meurt vengé sur son corps ;
Et la perdrix le remercie.
Cette part du récit s'adresse au convoiteux :
L'avare aura pour lui le reste de l'exemple.
Un Loup vit, en passant, ce spectacle piteux.
O fortune, dit-il, je te promets un temple.
Quatre corps étendus ! que de biens ! mais pourtant
Il faut les ménager, ces rencontres sont rares.
(Ainsi s'excusent les avares.)
J'en aurai, dit le Loup, pour un mois, pour autant.
Un, deux, trois, quatre corps, ce sont quatre semaines,
Si je sais compter, toutes pleines.
Commençons dans deux jours ; et mangeons cependant
La corde de cet arc ; il faut que l'on l'ait faite
De vrai boyau ; l'odeur me le témoigne assez.
En disant ces mots, il se jette
Sur l'arc qui se détend, et fait de la sagette
Un nouveau mort, mon Loup a les boyaux percés.
Je reviens à mon texte. Il faut que l'on jouisse ;
Témoin ces deux gloutons punis d'un sort commun ;
La convoitise perdit l'un ;
L'autre périt par l'avarice.

 

catégorie : LJ Michel de Rostolan
8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 12:00


un nouveau venu dans le paysage politique à l'occasion des élections régionales : le Parti de la France


Carl Lang, président du "Parti de la France" (PDF), tête de liste aux régionales en Haute-Normandie


01 30 80 55 89
http://www.carl-lang.com
http://www.parti-de-la-france.fr

Fernand Le Rachinel, tête de liste PDF aux régionales en Basse-Normandie



http://fr.wikipedia.org/wiki/Fernand_Le_Rachinel
http://www.parti-de-la-france.fr

Thomas Joly, tête de liste PDF aux régionales en Basse-Normandie



http://thomasjolyfn.over-blog.com
http://www.parti-de-la-france.fr

Jean Verdon, tête de liste PDF aux régionales dans la Région Centre



http://www.regioncentre.fr/jahia/webdav/site/portail/shared/reprise/groupes/fn/Elus/Jean_Verdon.htm
http://www.parti-de-la-france.fr




la fable de Jean de la Fontaine du mois


LE CHAT, LA BELETTE, ET LE PETIT LAPIN

Du palais d'un jeune Lapin
Dame Belette un beau matin
S'empara ; c'est une rusée.
Le Maître étant absent, ce lui fut chose aisée.
Elle porta chez lui ses pénates un jour
Qu'il était allé faire à l'Aurore sa cour,
Parmi le thym et la rosée.
Après qu'il eut brouté, trotté, fait tous ses tours,
Janot Lapin retourne aux souterrains séjours.
La Belette avait mis le nez à la fenêtre.
O Dieux hospitaliers, que vois-je ici paraître ?
Dit l'animal chassé du paternel logis :
O là, Madame la Belette,
Que l'on déloge sans trompette,
Ou je vais avertir tous les rats du pays.
La Dame au nez pointu répondit que la terre
Etait au premier occupant.
C'était un beau sujet de guerre
Qu'un logis où lui-même il n'entrait qu'en rampant.
Et quand ce serait un Royaume
Je voudrais bien savoir, dit-elle, quelle loi
En a pour toujours fait l'octroi
A Jean fils ou neveu de Pierre ou de Guillaume,
Plutôt qu'à Paul, plutôt qu'à moi.
Jean Lapin allégua la coutume et l'usage.
Ce sont, dit-il, leurs lois qui m'ont de ce logis
Rendu maître et seigneur, et qui de père en fils,
L'ont de Pierre à Simon, puis à moi Jean, transmis.
Le premier occupant est-ce une loi plus sage ?
- Or bien sans crier davantage,
Rapportons-nous, dit-elle, à Raminagrobis.
C'était un chat vivant comme un dévot ermite,
Un chat faisant la chattemite,
Un saint homme de chat, bien fourré, gros et gras,
Arbitre expert sur tous les cas.
Jean Lapin pour juge l'agrée.
Les voilà tous deux arrivés
Devant sa majesté fourrée.
Grippeminaud leur dit : Mes enfants, approchez,
Approchez, je suis sourd, les ans en sont la cause.
L'un et l'autre approcha ne craignant nulle chose.
Aussitôt qu'à portée il vit les contestants,
Grippeminaud le bon apôtre
Jetant des deux côtés la griffe en même temps,
Mit les plaideurs d'accord en croquant l'un et l'autre.
Ceci ressemble fort aux débats qu'ont parfois
Les petits souverains se rapportants aux Rois.


catégorie : LJ Michel de Rostolan
8 février 2010 1 08 /02 /février /2010 12:00

le 20e anniversaire de l'association Contribuables Associés


Benoîte Taffin, porte-parole de Contribuables Associés, ancien maire du IIe arrondissment de Paris


01 42 21 16 24
http://fr.wikipedia.org/wiki/Beno%C3%AEte_Taffin
http://www.contribuables.org

Jacques Bourdu, ancien chef d'entreprise, économiste



http://www.les4verites.com/archives/auteurs-Bourdu-Jacques-83.html

Jean Martineau
, nouveau président du Prix Renaissance de l'Economie, ingénieur civil des Ponts-et-Chaussées
http://cerclerenaissance.info/9.html


[...]




la fable de Jean de la Fontaine du mois


L'ANE ET LE CHIEN

Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature :
L'Ane un jour pourtant s'en moqua :
Et ne sais comme il y manqua ;
Car il est bonne créature.
Il allait par pays accompagné du Chien,
Gravement, sans songer à rien,
Tous deux suivis d'un commun maître.
Ce maître s'endormit : l'Ane se mit à paître :
Il était alors dans un pré,
Dont l'herbe était fort à son gré.
Point de chardons pourtant ; il s'en passa pour l'heure :
Il ne faut pas toujours être si délicat ;
Et faute de servir ce plat
Rarement un festin demeure.
Notre Baudet s'en sut enfin
Passer pour cette fois. Le Chien mourant de faim
Lui dit : Cher compagnon, baisse-toi, je te prie ;
Je prendrai mon dîné dans le panier au pain.
Point de réponse, mot ; le Roussin d'Arcadie
Craignit qu'en perdant un moment,
Il ne perdît un coup de dent.
Il fit longtemps la sourde oreille :
Enfin il répondit : Ami, je te conseille
D'attendre que ton maître ait fini son sommeil ;
Car il te donnera sans faute à son réveil,
Ta portion accoutumée.
Il ne saurait tarder beaucoup.
Sur ces entrefaites un Loup
Sort du bois, et s'en vient ; autre bête affamée.
L'Ane appelle aussitôt le Chien à son secours.
Le Chien ne bouge, et dit : Ami, je te conseille
De fuir, en attendant que ton maître s'éveille ;
Il ne saurait tarder ; détale vite, et cours.
Que si ce Loup t'atteint, casse-lui la mâchoire.
On t'a ferré de neuf ; et si tu me veux croire,
Tu l'étendras tout plat. Pendant ce beau discours
Seigneur Loup étrangla le Baudet sans remède.
Je conclus qu'il faut qu'on s'entr'aide.


catégorie : LJ Michel de Rostolan
11 janvier 2010 1 11 /01 /janvier /2010 12:00


Jean-Louis Harouel, professeur de droit à l'université Paris II, historien, sociologue



http://www.u-paris2.fr/1196690973153/0/fiche___annuaireksup/

Thierry Martin, consultant en finances publiques, secrétaire général du groupe des "Nationaux et Indépendants" au Conseil régional d'Ile-de-France
http://www.iledefrance.fr/missions-et-competences/le-conseil-regional/les-groupes-politiques/groupe-nationaux-et-independants/

Hubert Cottin, membre du comité de rédaction du "Lien des familles de France"
http://www.cerclerenaissance.info/4.html



Mercredi 27 janvier 2010, Jean-Louis Harouel recevra le Prix Renaissance des Lettres, pour son livre "La grande falsification : L'art contemporain"
http://www.cerclerenaissance.info/8.html



http://www.editionsjcgodefroy.fr/collection.php?id=15&id_ouvrage=98


[...]




les fables de Jean de la Fontaine du mois


LE GEAI PARÉ DES PLUMES DU PAON

Un Paon muait ; un Geai prit son plumage ;
Puis après se l'accommoda ;
Puis parmi d'autres Paons tout fier se panada,
Croyant être un beau personnage.
Quelqu'un le reconnut : il se vit bafoué,
Berné, sifflé, moqué, joué,
Et par Messieurs les Paons plumé d'étrange sorte ;
Même vers ses pareils s'étant réfugié,
Il fut par eux mis à la porte.
Il est assez de geais à deux pieds comme lui,
Qui se parent souvent des dépouilles d'autrui, Et que l'on nomme plagiaires.
Je m'en tais ; et ne veux leur causer nul ennui :
Ce ne sont pas là mes affaires.


L'ANE VÊTU DE LA PEAU DU LION

De la peau du Lion l'Ane s'étant vêtu
Etait craint partout à la ronde,
Et bien qu'animal sans vertu,
Il faisait trembler tout le monde.
Un petit bout d'oreille échappé par malheur
Découvrit la fourbe et l'erreur.
Martin fit alors son office.
Ceux qui ne savaient pas la ruse et la malice
S'étonnaient de voir que Martin
Chassât les Lions au moulin.

Force gens font du bruit en France,
Par qui cet Apologue est rendu familier.
Un équipage cavalier
Fait les trois quarts de leur vaillance.

catégorie : LJ Michel de Rostolan
14 décembre 2009 1 14 /12 /décembre /2009 12:00

un Capétien au cœur de la France


Sixte-Henri de Bourbon-Parme, prétendant au trône d'Espagne, propriétaire du château de Lignières



http://fr.wikipedia.org/wiki/Sixte_Henri_de_Bourbon-Parme

Michel Lelong, père blanc, ancien secrétaire du comité de l'Eglise Catholique pour les relations avec l'islam



http://peres-blancs.cef.fr/michellelong.htm

Huguette Pérol, écrivain



http://www.ricochet-jeunes.org/auteur.asp?id=1756

"Secrets de Princes. Un capétien au cœur de la France, Sixte-Henri de Bourbon-Parme"



http://www.editions-nel.com/cc/histoire/EkVlEkAkuENkoIFIaz.shtml


fut évoqué :


Michel Lelong : "Le retour des religions : péril ou espoir ?






la fable de Jean de la Fontaine du mois


L'INGRATITUDE ET L'INJUSTICE DES HOMMES ENVERS LA FORTUNE

Un trafiquant sur mer par bonheur s'enrichit.
Il triompha des vents pendant plus d'un voyage,
Gouffre, banc, ni rocher, n'exigea de péage
D'aucun de ses ballots ; le sort l'en affranchit.
Sur tous ses compagnons Atropos et Neptune
Recueillirent leur droit tandis que la Fortune
Prenait soin d'amener son marchand à bon port.
Facteurs, associés, chacun lui fit fidèle.
Il vendit son tabac, son sucre, sa canèle.
Ce qu'il voulut, sa porcelaine encor :
Le luxe et la folie enflèrent son trésor ;
Bref il plut dans son escarcelle.
On ne parlait chez lui que par doubles ducats.
Et mon homme d'avoir chiens, chevaux et carrosses.
Ses jours de jeûne étaient des noces.
Un sien ami, voyant ces somptueux repas,
Lui dit : Et d'où vient donc un si bon ordinaire ?
- Et d'où me viendrait-il que de mon savoir-faire ?
Je n'en dois rien qu'à moi, qu'à mes soins, qu'au talent
De risquer à propos, et bien placer l'argent.
Le profit lui semblant une fort douce chose,
Il risqua de nouveau le gain qu'il avait fait :
Mais rien, pour cette fois, ne lui vint à souhait.
Son imprudence en fut la cause.
Un vaisseau mal frété périt au premier vent.
Un autre mal pourvu des armes nécessaires
Fut enlevé par les Corsaires.
Un troisième au port arrivant,
Rien n'eut cours ni débit. Le luxe et la folie
N'étaient plus tels qu'auparavant.
Enfin ses facteurs le trompant,
Et lui-même ayant fait grand fracas, chère lie,
Mis beaucoup en plaisirs, en bâtiments beaucoup,
Il devint pauvre tout d'un coup.
Son ami le voyant en mauvais équipage,
Lui dit : D'où vient cela ? - De la fortune, hélas !
- Consolez-vous, dit l'autre ; et s'il ne lui plaît pas
Que vous soyez heureux ; tout au moins soyez sage.
Je ne sais s'il crut ce conseil ;
Mais je sais que chacun impute, en cas pareil,
Son bonheur à son industrie,
Et si de quelque échec notre faute est suivie,
Nous disons injures au sort.
Chose n'est ici plus commune :
Le bien nous le faisons, le mal c'est la fortune,
On a toujours raison, le destin toujours tort.

catégorie : LJ Michel de Rostolan
16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 12:00

La France du terroir, trop oubliée de nos jours : de Chateaubriand à La Varende


Jean-Paul Clément, président de la Société Chateaubriand, ancien directeur de la Maison de Chateaubriand, professeur à l’Institut d’Etudes Politique de Paris



http://www.maison-de-chateaubriand.fr

Anne Brassié, journaliste, écrivain



http://fr.wikipedia.org/wiki/Anne_Brassi%C3%A9

Philippe Lamarque, historien



http://www.culture-cadeaux.com/philippe-lamarque-c-687_690.html



A l'occasion du traditionnel cocktail amical de Noël, le mercredi 9 décembre 2009 de 19h à 21h30, au Café Poussin, 2 rue Poussin, 75016 Paris (carrefour Mozart-Poussin), le Prix Renaissance des Arts 2009 sera remis par Georges Poisson, conservateur général du Patrimoine, à Jean-Paul Clément, président d'honneur de la Société Chateaubriand, membre correspondant de l'Institut, pour avoir restauré et fait revivre le domaine de Chateaubriand à la Vallée aux Loups
http://cerclerenaissance.info/6.html

Association des Amis de la Maison de Chateaubriand
87, rue Chateaubriand
92290 Châtenay-Malabry


Patrick Delon : "La Varende - Qui suis-je ?"




Association "Présence de La Varende"
http://pagesperso-orange.fr/lavarende/


[...]




divers


CD "Enfance et poésie - Mon cahier de Poésies n°1"



http://joymusic.fr/1125-mon-cahier-de-poesies-1-3760040710761.html


catégorie : LJ Michel de Rostolan
19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 11:00

le centenaire de l'Alliance Franco-Russe : à la redécouverte de l'âme russe


Alexandre Andrianov, conseiller à l'ambassade de la Fédération de Russie en France
http://www.france.mid.ru/index_fr.html

Christian Brosio, journaliste, secrétaire général de la rédaction du mensuel "Le Spectacle du Monde"
http://www.lespectacledumonde.fr

André Pertuzio, conseiller honoraire du Commerce extérieur de la France, collaborateur de la revue Géostratégiques



http://www.strategicsinternational.com



Grand dîner de rentrée du Cercle Renaissance, le mardi 17 novembre 2009 à 19h45, dans les salons de l'Aéroclub de France à Paris, sur le thème : "Centenaire de l'Alliance Franco-Russe : à la redécouverte de l'âme russe", avec, S. Exc. Alexandre Orlov, Ambassadeur de la Fédération de Russie en France, et les témoignages complémentaires de M. Christian Brosio, journaliste, M. Aymeric Chauprade, professeur de géopolitique, Prince Constantin Mourousy, pdt de l'Association européenne de St Vladimir. Réservation préalable obligatoire. Renseignements et inscriptions avant le 12 novembre 2009 au Cercle Renaissance, 138, rue de Tocqueville, 75017 Paris,  Tél : 01 42 27 48 22
http://cerclerenaissance.info/13.html




la fable de Jean de la Fontaine du mois


LE COCHET, LE CHAT, ET LE SOURICEAU

Un Souriceau tout jeune, et qui n'avait rien vu,
Fut presque pris au dépourvu.
Voici comme il conta l'aventure à sa mère :
J'avais franchi les Monts qui bornent cet Etat,
Et trottais comme un jeune Rat
Qui cherche à se donner carrière,
Lorsque deux animaux m'ont arrêté les yeux :
L'un doux, bénin et gracieux,
Et l'autre turbulent, et plein d'inquiétude.
Il a la voix perçante et rude,
Sur la tête un morceau de chair,
Une sorte de bras dont il s'élève en l'air
Comme pour prendre sa volée,
La queue en panache étalée.
Or c'était un Cochet dont notre Souriceau
Fit à sa mère le tableau,
Comme d'un animal venu de l'Amérique.
Il se battait, dit-il, les flancs avec ses bras,
Faisant tel bruit et tel fracas,
Que moi, qui grâce aux Dieux, de courage me pique,
En ai pris la fuite de peur,
Le maudissant de très bon coeur.
Sans lui j'aurais fait connaissance
Avec cet animal qui m'a semblé si doux.
Il est velouté comme nous,
Marqueté, longue queue, une humble contenance ;
Un modeste regard, et pourtant l'oeil luisant :
Je le crois fort sympathisant
Avec Messieurs les Rats ; car il a des oreilles
En figure aux nôtres pareilles.
Je l'allais aborder, quand d'un son plein d'éclat
L'autre m'a fait prendre la fuite.
- Mon fils, dit la Souris, ce doucet est un Chat,
Qui sous son minois hypocrite
Contre toute ta parenté
D'un malin vouloir est porté.
L'autre animal tout au contraire
Bien éloigné de nous mal faire,
Servira quelque jour peut-être à nos repas.
Quant au Chat, c'est sur nous qu'il fonde sa cuisine.
Garde-toi, tant que tu vivras,
De juger des gens sur la mine.


catégorie : LJ Michel de Rostolan
21 septembre 2009 1 21 /09 /septembre /2009 11:00

hommage à Jean-Baptiste Biaggi


Bruno Gollnisch, vice-président du Front national, député européen, conseiller régional de Rhône-Alpes, professeur de langues et civilisations orientales à l'université Lyon III



http://www.gollnisch.com
http://www.frontnational.com

Pierre Descaves, ancien député, conseiller régional de Picardie, président de l'association France-Résistance



http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Descaves_%28homme_politique%29
http://www.france-resistance.com

Nicole de Boisguilbert, ancienne collaboratrice de Jean-Baptiste Biaggi



Jean-Baptiste Biaggi (27 août 1918 - 29 juillet 2009)



http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Baptiste_Biaggi
http://www.nationspresse.info/?p=52713


[...]




actualité des Rapatriés


Bernard Coll, secrétaire général de l'association Jeune Pied-Noir



http://pagesperso-orange.fr/jeunepiednoir/jpn.wst/


[...]




la fable de Jean de la Fontaine du mois


LE LION S'EN ALLANT EN GUERRE

Le Lion dans sa tête avait une entreprise.
Il tint conseil de guerre, envoya ses Prévots,
Fit avertir les animaux :
Tous furent du dessein, chacun selon sa guise.
L'Eléphant devait sur son dos
Porter l'attirail nécessaire
Et combattre à son ordinaire,
L'Ours s'apprêter pour les assauts ;
Le Renard ménager de secrètes pratiques,
Et le Singe amuser l'ennemi par ses tours.
Renvoyez, dit quelqu'un, les Anes qui sont lourds,
Et les Lièvres sujets à des terreurs paniques.
- Point du tout, dit le Roi, je les veux employer.
Notre troupe sans eux ne serait pas complète.
L'Ane effraiera les gens, nous servant de trompette,
Et le Lièvre pourra nous servir de courrier.
Le monarque prudent et sage
De ses moindres sujets sait tirer quelque usage,
Et connaît les divers talents :
Il n'est rien d'inutile aux personnes de sens.


catégorie : LJ Michel de Rostolan
24 août 2009 1 24 /08 /août /2009 11:00

Le président Nicolas Sarkozy est-il un homme de droite ?


Thierry Martin, secrétaire général du groupe des Nationaux et Indépendants au Conseil régional d'Ile-de-France
http://www.iledefrance.fr/missions-et-competences/le-conseil-regional/les-groupes-politiques/groupe-nationaux-et-independants/

André Pertuzio, ancien conseiller juridique pour l'énergie à la Banque Mondiale, collaborateur de la revue Géostratégiques



http://www.strategicsinternational.com




la fable de Jean de la Fontaine du mois


LE BUCHERON ET MERCURE

Votre goût a servi de règle à mon ouvrage.
J'ai tenté les moyens d'acquérir son suffrage.
Vous voulez qu'on évite un soin trop curieux,
Et des vains ornements l'effort ambitieux.
Je le veux comme vous ; cet effort ne peut plaire.
Un auteur gâte tout quand il veut trop bien faire.
Non qu'il faille bannir certains traits délicats :
Vous les aimez, ces traits, et je ne les hais pas.
Quant au principal but qu'Esope se propose,
J'y tombe au moins mal que je puis.
Enfin si dans ces Vers je ne plais et n'instruis,
Il ne tient pas à moi, c'est toujours quelque chose.
Comme la force est un point
Dont je ne me pique point,
Je tâche d'y tourner le vice en ridicule,
Ne pouvant l'attaquer avec des bras d'Hercule.
C'est là tout mon talent ; je ne sais s'il suffit.
Tantôt je peins en un récit
La sotte vanité jointe avecque l'envie,
Deux pivots sur qui roule aujourd'hui notre vie.
Tel est ce chétif animal
Qui voulut en grosseur au Boeuf se rendre égal.
J'oppose quelquefois, par une double image,
Le vice à la vertu, la sottise au bon sens,
Les Agneaux aux Loups ravissants,
La Mouche à la Fourmi, faisant de cet ouvrage
Une ample Comédie à cent actes divers,
Et dont la scène est l'Univers.
Hommes, Dieux, Animaux, tout y fait quelque rôle :
Jupiter comme un autre : Introduisons celui
Qui porte de sa part aux Belles la parole :
Ce n'est pas de cela qu'il s'agit aujourd'hui.

Un Bûcheron perdit son gagne-pain,
C'est sa cognée ; et la cherchant en vain,
Ce fut pitié là-dessus de l'entendre.
Il n'avait pas des outils à revendre.
Sur celui-ci roulait tout son avoir.
Ne sachant donc où mettre son espoir,
Sa face était de pleurs toute baignée.
O ma cognée ! ô ma pauvre cognée !
S'écriait-il, Jupiter, rends-la-moi ;
Je tiendrai l'être encore un coup de toi.
Sa plainte fut de l'Olympe entendue.
Mercure vient. Elle n'est pas perdue,
Lui dit ce dieu, la connaîtras-tu bien ?
Je crois l'avoir près d'ici rencontrée.
Lors une d'or à l'homme étant montrée,
Il répondit : Je n'y demande rien.
Une d'argent succède à la première,
Il la refuse. Enfin une de bois :
Voilà, dit-il, la mienne cette fois ;
Je suis content si j'ai cette dernière.
- Tu les auras, dit le Dieu, toutes trois.
Ta bonne foi sera récompensée.
- En ce cas-là je les prendrai, dit-il.
L'Histoire en est aussitôt dispersée ;
Et Boquillons de perdre leur outil,
Et de crier pour se le faire rendre.
Le Roi des Dieux ne sait auquel entendre.
Son fils Mercure aux criards vient encor,
A chacun d'eux il en montre une d'or.
Chacun eût cru passer pour une bête
De ne pas dire aussitôt : La voilà !
Mercure, au lieu de donner celle-là,
Leur en décharge un grand coup sur la tête.

Ne point mentir, être content du sien,
C'est le plus sûr : cependant on s'occupe
A dire faux pour attraper du bien :
Que sert cela ? Jupiter n'est pas dupe.


catégorie : LJ Michel de Rostolan
27 juillet 2009 1 27 /07 /juillet /2009 11:00


la réhabilitation de Bruno Gollnisch

commentaire de l'actualité


Bruno Gollnisch, vice-président du Front national, député européen, conseiller régional de Rhône-Alpes, professeur de langues et civilisations orientales à l'université Lyon III



http://www.gollnisch.com
http://www.frontnational.com




Pierre Hillard, professeur d'histoire, docteur en science politique, écrivain



http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Hillard
http://www.voltairenet.org/auteur62.html

"La fondation Bertelsmann et la gouvernance mondiale"



http://www.duquesne-diffusion.com/noscoupsdecoeur.html



fut évoquée :


la future monnaie mondiale
http://www.fdesouche.com/articles/54036




la fable de Jean de la Fontaine du mois


LE VILLAGEOIS ET LE SERPENT

Esope conte qu'un Manant,
Charitable autant que peu sage,
Un jour d'Hiver se promenant
A l'entour de son héritage,
Aperçut un Serpent sur la neige étendu,
Transi, gelé, perclus, immobile rendu,
N'ayant pas à vivre un quart d'heure.
Le Villageois le prend, l'emporte en sa demeure,
Et sans considérer quel sera le loyer
D'une action de ce mérite,
Il l'étend le long du foyer,
Le réchauffe, le ressuscite.
L'Animal engourdi sent à peine le chaud,
Que l'âme lui revient avecque la colère.
Il lève un peu la tête, et puis siffle aussitôt,
Puis fait un long repli, puis tâche à faire un saut
Contre son bienfaiteur, son sauveur et son père.
Ingrat, dit le Manant, voilà donc mon salaire ?
Tu mourras. A ces mots, plein de juste courroux,
Il vous prend sa cognée, il vous tranche la Bête,
Il fait trois Serpents de deux coups,
Un tronçon, la queue, et la tête.
L'insecte sautillant cherche à se réunir,
Mais il ne put y parvenir.

Il est bon d'être charitable ;
Mais envers qui ? c'est là le point.
Quant aux ingrats, il n'en est point
Qui ne meure enfin misérable.


catégorie : LJ Michel de Rostolan
29 juin 2009 1 29 /06 /juin /2009 11:00

Hommage à Henri Yrissou, qui nous a quittés le 21 juin 2009


Pascal Yrissou, conseiller en fusion-acquisition, fils d'Henri Yrissou

Jean-Marie Le Pen, député français au parlement européen, président du Front National



http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marie_Le_Pen
http://www.frontnational.com




Henri Yrissou (1909-2009) fut inspecteur général des finances, député et directeur de cabinet d'Antoine Pinay



http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/trombinoscope/Vrepublique/Legis01/yrissou-henri-15051909.asp
http://wwwarc.eui.eu/idchn/binFR/CreaInt.asp?rc=INT533


fut évoqué :


thèse de Gilles Richard sur le thème "Le Centre national des indépendants et paysans de 1948 à 1962, ou l'échec de l'union des droites françaises dans le parti des modérés" (1988)
http://www.crape.univ-rennes1.fr/membres/richard_gilles.htm


[...]




Actualité économique et politique


Michel de Poncins, président de Catholiques pour les Libertés Economiques (CLE), animateur de Tocqueville Magazine et de Radio Silence



http://www.liberaux.org/wiki/index.php?title=Michel_de_Poncins
http://rupturepolitique.over-blog.com
http://www.libeco.net
http://www.radio-silence.org


[...]




la fable de Jean de la Fontaine du mois


LE LABOUREUR ET SES ENFANTS

Travaillez, prenez de la peine :
C'est le fonds qui manque le moins.
Un riche Laboureur, sentant sa mort prochaine,
Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins.
Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l'héritage
Que nous ont laissé nos parents.
Un trésor est caché dedans.
Je ne sais pas l'endroit ; mais un peu de courage
Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout.
Remuez votre champ dès qu'on aura fait l'Oût.
Creusez, fouiller, bêchez ; ne laissez nulle place
Où la main ne passe et repasse.
Le père mort, les fils vous retournent le champ
Deçà, delà, partout ; si bien qu'au bout de l'an
Il en rapporta davantage.
D'argent, point de caché. Mais le père fut sage
De leur montrer avant sa mort
Que le travail est un trésor.

catégorie : LJ Michel de Rostolan
1 juin 2009 1 01 /06 /juin /2009 11:00

Carl Lang, député français au parlement européen, conseiller régional Nord Pas-de-Calais, président du "Parti de la France"



http://www.carl-lang.com
http://www.parti-de-la-france.fr

Christian Baeckeroot, ancien député, conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais, expert comptable



http://www.tourcoingaccueil.blogspot.com


Martine Lehideux, ancienne députée français au Parlement européen, présidente du groupe des "Nationaux et Indépendants" au Conseil régional d'Ile-de-France



http://fr.wikipedia.org/wiki/Martine_Lehideux


[...]




la fable de Jean de la Fontaine du mois


LE RAT DE VILLE ET LE RAT DES CHAMPS

Autrefois le Rat de ville
Invita le Rat des champs,
D'une façon fort civile,
A des reliefs d'Ortolans.
Sur un Tapis de Turquie
Le couvert se trouva mis.
Je laisse à penser la vie
Que firent ces deux amis.
Le régal fut fort honnête,
Rien ne manquait au festin ;
Mais quelqu'un troubla la fête
Pendant qu'ils étaient en train.
A la porte de la salle
Ils entendirent du bruit :
Le Rat de ville détale ;
Son camarade le suit.
Le bruit cesse, on se retire :
Rats en campagne aussitôt ;
Et le citadin de dire :
Achevons tout notre rôt.
- C'est assez, dit le rustique ;
Demain vous viendrez chez moi :
Ce n'est pas que je me pique
De tous vos festins de Roi ;
Mais rien ne vient m'interrompre :
Je mange tout à loisir.
Adieu donc ; fi du plaisir
Que la crainte peut corrompre.


[...]


catégorie : LJ Michel de Rostolan
4 mai 2009 1 04 /05 /mai /2009 11:00

L'écologie est-elle une arnaque ?


Christian Gerondeau, ingénieur général des Ponts et Chaussées, président de la Fédération Française des Automobile-Clubs



http://fr.wikipedia.org/wiki/Christian_Gerondeau
http://www.automobileclub.org

Benoîte Taffin, porte-parole de Contribuables Associés, ancien maire du IIe arrondissment de Paris



http://fr.wikipedia.org/wiki/Beno%C3%AEte_Taffin
http://www.contribuables.org

Jacques Bourdu, ancien chef d'entreprise, économiste, président du Prix Renaissance de l'économie



http://www.les4verites.com/archives/auteurs-Bourdu-Jacques-83.html



Le Prix Renaissance de l'économie sera remis à Christian Gerondeau le mercredi 27 mai 2009
http://cerclerenaissance.info/15.html


Christian Gerondeau :
"Ecologie, la grande arnaque"
"CO2 :  un mythe planétaire"




[...]




la fable de Jean de la Fontaine du mois


LE CHENE ET LE ROSEAU

Le Chêne un jour dit au Roseau :
"Vous avez bien sujet d'accuser la Nature ;
Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau.
Le moindre vent, qui d'aventure
Fait rider la face de l'eau,
Vous oblige à baisser la tête :
Cependant que mon front, au Caucase pareil,
Non content d'arrêter les rayons du soleil,
Brave l'effort de la tempête.
Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr.
Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage
Dont je couvre le voisinage,
Vous n'auriez pas tant à souffrir :
Je vous défendrais de l'orage ;
Mais vous naissez le plus souvent
Sur les humides bords des Royaumes du vent.
La nature envers vous me semble bien injuste.
- Votre compassion, lui répondit l'Arbuste,
Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci.
Les vents me sont moins qu'à vous redoutables.
Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici
Contre leurs coups épouvantables
Résisté sans courber le dos ;
Mais attendons la fin. "Comme il disait ces mots,
Du bout de l'horizon accourt avec furie
Le plus terrible des enfants
Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs.
L'Arbre tient bon ; le Roseau plie.
Le vent redouble ses efforts,
Et fait si bien qu'il déracine
Celui de qui la tête au Ciel était voisine
Et dont les pieds touchaient à l'Empire des Morts.

catégorie : LJ Michel de Rostolan
6 avril 2009 1 06 /04 /avril /2009 11:00

Marie-Joëlle Guillaume, professeur agrégée de lettres classiques, éditorialiste à Famille chrétienne
http://www.edifa.com

Yves-Marie Bercé, professeur honoraire à la Sorbonne, ancien directeur de l'école des Chartres, membre de l'Institut
http://fr.wikipedia.org/wiki/Yves-Marie_Berc%C3%A9

Jean du Verdier, général, écrivain

"Nos racines chrétiennes"




[...]




la fable de Jean de la Fontaine du mois


LA LAITIERE ET LE POT AU LAIT

Perrette sur sa tête ayant un Pot au lait
Bien posé sur un coussinet,
Prétendait arriver sans encombre à la ville.
Légère et court vêtue elle allait à grands pas ;
Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile,
Cotillon simple, et souliers plats.
Notre laitière ainsi troussée
Comptait déjà dans sa pensée
Tout le prix de son lait, en employait l'argent,
Achetait un cent d'oeufs, faisait triple couvée ;
La chose allait à bien par son soin diligent.
Il m'est, disait-elle, facile,
D'élever des poulets autour de ma maison :
Le Renard sera bien habile,
S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon.
Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ;
Il était quand je l'eus de grosseur raisonnable :
J'aurai le revendant de l'argent bel et bon.
Et qui m'empêchera de mettre en notre étable,
Vu le prix dont il est, une vache et son veau,
Que je verrai sauter au milieu du troupeau ?
Perrette là-dessus saute aussi, transportée.
Le lait tombe ; adieu veau, vache, cochon, couvée ;
La dame de ces biens, quittant d'un oeil marri
Sa fortune ainsi répandue,
Va s'excuser à son mari
En grand danger d'être battue.
Le récit en farce en fut fait ;
On l'appela le Pot au lait.

Quel esprit ne bat la campagne ?
Qui ne fait châteaux en Espagne ?
Picrochole, Pyrrhus, la Laitière, enfin tous,
Autant les sages que les fous ?
Chacun songe en veillant, il n'est rien de plus doux :
Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes :
Tout le bien du monde est à nous,
Tous les honneurs, toutes les femmes.
Quand je suis seul, je fais au plus brave un défi ;
Je m'écarte, je vais détrôner le Sophi ;
On m'élit roi, mon peuple m'aime ;
Les diadèmes vont sur ma tête pleuvant :
Quelque accident fait-il que je rentre en moi-même ;
Je suis gros Jean comme devant.


catégorie : LJ Michel de Rostolan
9 mars 2009 1 09 /03 /mars /2009 12:00

Vérité sur le 19 mars 1962 : la France trahie


Bernard Coll, secrétaire général de l'association Jeune Pied-Noir



http://pagesperso-orange.fr/jeunepiednoir/jpn.wst/

Pierre Descaves, ancien député, conseiller régional de Picardie, président de l'association France-Résistance



http://www.cr-picardie.fr/article.php3?id_article=423
http://www.france-resistance.com

André Pertuzio, ancien conseiller juridique pour l'énergie à la Banque Mondiale, collaborateur de la revue Géostratégiques



http://www.voxdei.org/afficher_info.php?id=3479.6 (petite biographie au début)
http://www.strategicsinternational.com


[...]





la fable de Jean de la Fontaine du mois


LE LOUP ET L'AGNEAU

La raison du plus fort est toujours la meilleure :
Nous l'allons montrer tout à l'heure.
Un Agneau se désaltérait
Dans le courant d'une onde pure.
Un Loup survient à jeun qui cherchait aventure,
Et que la faim en ces lieux attirait.
Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ?
Dit cet animal plein de rage :
Tu seras châtié de ta témérité.
- Sire, répond l'Agneau, que votre Majesté
Ne se mette pas en colère ;
Mais plutôt qu'elle considère
Que je me vas désaltérant
Dans le courant,
Plus de vingt pas au-dessous d'Elle,
Et que par conséquent, en aucune façon,
Je ne puis troubler sa boisson.
- Tu la troubles, reprit cette bête cruelle,
Et je sais que de moi tu médis l'an passé.
- Comment l'aurais-je fait si je n'étais pas né ?
Reprit l'Agneau, je tette encor ma mère.
- Si ce n'est toi, c'est donc ton frère.
- Je n'en ai point. - C'est donc quelqu'un des tiens :
Car vous ne m'épargnez guère,
Vous, vos bergers, et vos chiens.
On me l'a dit : il faut que je me venge.
Là-dessus, au fond des forêts
Le Loup l'emporte, et puis le mange,
Sans autre forme de procès.


catégorie : LJ Michel de Rostolan
9 février 2009 1 09 /02 /février /2009 12:00


le caractère sacré de la Vie


Cécile Edel, présidente de l'association Choisir la Vie (AOCPA)



http://www.choisirlavie.org

Luc Perrel, médecin, président de "Laissez les vivre, SOS futures mères",  vice-président de SOS Tout-Petits, animateur du site de l’ACIM

http://laissezlesvivre.free.fr
http://www.sos-tout-petits.org
http://www.acimps.org



Etats généraux de la famille, le samedi 28 mars 2009, à la Fondation Dosne-Thiers. Renseignements : 01 48 78 08 80
http://laissezlesvivre.free.fr/pdf/EGF%20DEPLIANT%20BLEU.pdf




la fable de Jean de la Fontaine du mois


LA CIGALE ET LA FOURMI

La Cigale, ayant chanté
Tout l'été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue :
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau.
Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu'à la saison nouvelle.
"Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l'Oût, foi d'animal,
Intérêt et principal. "
La Fourmi n'est pas prêteuse :
C'est là son moindre défaut.
Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
- Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
- Vous chantiez ? j'en suis fort aise.
Eh bien ! dansez maintenant.





divers


André Toulemon : "Le Suffrage familial, ou Suffrage universel intégral. Le vote des femmes"
http://www.amazon.fr/Suffrage-familial-universel-int%C3%A9gral-Toulemon/dp/B001BOCZYI


catégorie : LJ Michel de Rostolan
12 janvier 2009 1 12 /01 /janvier /2009 12:00

l'œuvre de Ghislain de Diesbach


Ghislain de Diesbach, historien, écrivain



http://fr.wikipedia.org/wiki/Ghislain_de_Diesbach
http://roseaudor.free.fr/Conferenciers1.php3#Diesbach

Anne Brassié, journaliste, écrivain


 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Anne_Brassi%C3%A9


Camille-Marie Galic, journaliste, directrice de Rivarol et d'Ecrits de Paris



http://www.rivarol.com

Philippe Lamarque, historien



http://www.culture-cadeaux.com/philippe-lamarque-c-687_690.html



Ghislain de Diesbach : "Petit dictionnaire des idées mal reçues"



http://www.via-romana.fr/?pageid=fiche&prod=36


Ghislain de Diesbach recevra le Prix Renaissance des Lettres 2009, le mercredi 28 janvier 2009
http://cerclerenaissance.info/2.html


[...]




la fable de Jean de la Fontaine du mois


L'ANE VETU DE LA PEAU DU LION

De la peau du Lion l'Ane s'étant vêtu
Etait craint partout à la ronde,
Et bien qu'animal sans vertu,
Il faisait trembler tout le monde.
Un petit bout d'oreille échappé par malheur
Découvrit la fourbe et l'erreur.
Martin fit alors son office.
Ceux qui ne savaient pas la ruse et la malice
S'étonnaient de voir que Martin
Chassât les Lions au moulin.

Force gens font du bruit en France,
Par qui cet Apologue est rendu familier.
Un équipage cavalier
Fait les trois quarts de leur vaillance.


catégorie : LJ Michel de Rostolan
15 décembre 2008 1 15 /12 /décembre /2008 12:00

Jean-Paul Argouarc'h, prêtre, directeur du village d'enfants de Riaumont

 

 

http://www.riaumont.net

 


fut évoqué :

 

 

"Riaumont : Passion et Résurrection"

 

 

http://www.via-romana.fr/?pageid=fiche&prod=49

 



 

Bruno Gollnisch, délégué général du Front national, député européen, conseiller régional de Rhône-Alpes, professeur de langues et de civilisations orientales



http://www.gollnisch.com
http://www.frontnational.com



la fable de Jean de la Fontaine du mois


PAROLE DE SOCRATE

Socrate un jour faisant bâtir,
Chacun censurait son ouvrage :
L'un trouvait les dedans, pour ne lui point mentir,
Indignes d'un tel personnage ;
L'autre blâmait la face, et tous étaient d'avis
Que les appartements en étaient trop petits.
Quelle maison pour lui ! L'on y tournait à peine.
Plût au ciel que de vrais amis,
Telle qu'elle est, dit-il, elle pût être pleine !
Le bon Socrate avait raison
De trouver pour ceux-là trop grande sa maison.
Chacun se dit ami ; mais fol qui s'y repose :
Rien n'est plus commun que ce nom,
Rien n'est plus rare que la chose.



divers


Alix Baboin-Jaubert : "Le guide des prénoms chic"



http://www.editionsjacob-duvernet.com/livres.php?id_book=121


Marie-Magdeleine del Perugia : "Ces marins qui défendirent la France"



http://www.via-romana.fr/?pageid=fiche&prod=75


Claude Faisandier : "Un roman, la guerre de Cent Ans, vue par ses témoins"




Ghislain de Diesbach : "Petit dictionnaire des idées mal reçues", Prix Renaissance 2009



http://www.via-romana.fr/?pageid=fiche&prod=36


catégorie : LJ Michel de Rostolan
17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 12:00


Yves Meaudre, directeur général de l'association Enfants du Mékong


01 47 91 00 84
http://www.magistro.fr/component/option,com_glossary/func,view/Itemid,99999999/catid,22/term,MEAUDRE+Yves/
http://www.enfantsdumekong.com

Benoît Fruchard (?), administrateur de l'association Saint-Grégoire (filliale d'Enfants du Mékong)

Diane de Selve, éducatrice au foyer des jeunes d'Enfants du Mékong en France, ancienne volontaire aux Philippines



Les 22 et 23 novembre Enfants du Mékong fêtent leur 50 ans sur le thème "Le don, ressource illimitée de l'humanité", à l'UNESCO, 125 avenue de Suffren, 75007 Paris. Entrée libre. Renseignements : 01 47 91 00 84
http://www.enfantsdumekong.com/s/unesco_enbref.php


fut évoqué :


Sor Sisavang : "L'Enfant de la rizière rouge"



http://www.editionsdujubile.com/index.php?op=3&livre=3583663
http://shinezine.fr/L-Enfant-De-La-Riziere-Rouge


[...]




la fable de Jean de la Fontaine du mois


LES DEUX TAUREAUX ET UNE GRENOUILLE

Deux Taureaux combattaient à qui posséderait
Une Génisse avec l'empire.
Une Grenouille en soupirait.
"Qu'avez-vous ?"se mit à lui dire
Quelqu'un du peuple croassant.
Et ne voyez-vous pas, dit-elle,
Que la fin de cette querelle
Sera l'exil de l'un ; que l'autre, le chassant,
Le fera renoncer aux campagnes fleuries ?
Il ne régnera plus sur l'herbe des prairies,
Viendra dans nos marais régner sur les roseaux,
Et nous foulant aux pieds jusques au fond des eaux,
Tantôt l'une, et puis l'autre, il faudra qu'on pâtisse
Du combat qu'a causé Madame la Génisse.
Cette crainte était de bon sens.
L'un des Taureaux en leur demeure
S'alla cacher à leurs dépens :
Il en écrasait vingt par heure.
Hélas! on voit que de tout temps
Les petits ont pâti des sottises des grands.


catégorie : LJ Michel de Rostolan
20 octobre 2008 1 20 /10 /octobre /2008 11:00


la défense des Etats pontificaux sous Pie IX


Philippe Pichot-Bravard, historien, romancier, professeur de droit



http://radio-courtoisie.over-blog.com/article-11750614.html

Eric du Reau de la Gaignonnière, président de l'Association des Descendants des Zouaves Pontificaux et Volontaires de l'Ouest (ADZPVO)
8, rue Ronsard
92360 Meudon-la-forêt
01 45 01 67 64
01 46 31 67 06

Philippe Lamarque, historien



http://www.culture-cadeaux.com/philippe-lamarque-c-687_690.html



Philippe Pichot-Bravard : "Le pape ou l'empereur : Les catholiques et Napoléon III"



http://www.editionstempora.fr/titres/le_pape_ou_lempereur_9782916053349_philippe_pichot-bravard_les_catholiques_et_napoleon_iii.asp


Grand dîner de rentrée du Cercle Renaissance, le vendredi 21 novembre 2008 à 19h45, dans les salons de l'Aéroclub de France, 6 rue Galilée, 75016 Paris, sur le thème "La défense des Etats Pontificaux : De l'épopée des Zouaves pontificaux à l'esprit de la Noblesse pontificale" avec les interventions successives de Philippe Pichot-Bravard, Eric du Réau de la Gaignonnière et Roger Marraud des Grottes
http://cerclerenaissance.info/13.html


fut évoqué :


Philippe Lamarque : "Le Maroc d'Antan", qui vient de paraître

 

http://hc-editions.com/ouvrage,le-maroc-d-antan,1,13,9782911207914.html





la fable de Jean de la Fontaine du mois


LE CHAT ET LE RENARD

Le Chat et le Renard, comme beaux petits saints,
S'en allaient en pèlerinage.
C'étaient deux vrais Tartufs, deux archipatelins,
Deux francs Patte-pelus qui, des frais du voyage,
Croquant mainte volaille, escroquant maint fromage,
S'indemnisaient à qui mieux mieux.
Le chemin était long, et partant ennuyeux,
Pour l'accourcir ils disputèrent.
La dispute est d'un grand secours ;
Sans elle on dormirait toujours.
Nos pèlerins s'égosillèrent.
Ayant bien disputé, l'on parla du prochain.
Le Renard au Chat dit enfin :
Tu prétends être fort habile :
En sais-tu tant que moi ? J'ai cent ruses au sac.
- Non, dit l'autre : je n'ai qu'un tour dans mon bissac,
Mais je soutiens qu'il en vaut mille.
Eux de recommencer la dispute à l'envi,
Sur le que si, que non, tous deux étant ainsi,
Une meute apaisa la noise.
Le Chat dit au Renard : Fouille en ton sac, ami :
Cherche en ta cervelle matoise
Un stratagème sûr. Pour moi, voici le mien.
A ces mots sur un arbre il grimpa bel et bien.
L'autre fit cent tours inutiles,
Entra dans cent terriers, mit cent fois en défaut
Tous les confrères de Brifaut.
Partout il tenta des asiles,
Et ce fut partout sans succès :
La fumée y pourvut, ainsi que les bassets.
Au sortir d'un Terrier, deux chiens aux pieds agiles
L'étranglèrent du premier bond.
Le trop d'expédients peut gâter une affaire ;
On perd du temps au choix, on tente, on veut tout faire.
N'en ayons qu'un, mais qu'il soit bon.




divers


Jacques Bourdu : "L'Ecole et l'Université : comment sortir de l'échec ? simplifier, économiser"




Marie-Magdeleine del Perugia : "Ces marins qui défendirent la France"



http://www.via-romana.fr/?pageid=fiche&prod=75


Philippe Chesnay : "Pinochet, l'autre vérité"




Jean-Jacques Boucher : "Prières à la Vierge Marie"




revue "La Vie du Rail"
http://www.laviedurail.com/publications/pubvdr.php?SID=20081024035831BC744F82


revue "Cartes postales et collection" (CPC)
http://www.toutabo.com/cartes-postales-et-collection-cpc-p-2227.html


Bernard Bathiat : "Dépôts et tenders de locomotives des compagnies françaises"




catégorie : LJ Michel de Rostolan
22 septembre 2008 1 22 /09 /septembre /2008 11:00

La noblesse aujourd'hui ?


Blanche de Kersaint, directrice du Bottin Mondain

16, rue Camille Pelletan
92300 Levallois
01 41 27 13 13
http://www.bottin-mondain.fr

Roger Marraud des Grottes, président de la "Réunion de la Noblesse Pontificale" (RNP)
56, rue Nicolo
75116 Paris

Pierre-Marie Dioudonnat, généalogiste, directeur (?) des éditions Sedopols
38, rue d'Enghien
75010 Paris
01 45 23 56 19
sedopols
club-internet.fr



Pierre-Marie Dioudonnat : "Demandes de changement de nom, 1917-1943"




furent évoqués :


Pierre-Marie Dioudonnat : "Le simili-nobiliaire français"




Les Annales des Familles de France, à se procurer auprès du Lien des Familles de France
http://cerclerenaissance.info/4.html




la fable de Jean de la Fontaine du mois


LE MULET SE VANTANT DE SA GENEALOGIE

Le Mulet d'un prélat se piquait de noblesse,
Et ne parlait incessamment
Que de sa mère la Jument,
Dont il contait mainte prouesse :
Elle avait fait ceci, puis avait été là.
Son fils prétendait pour cela
Qu'on le dût mettre dans l'Histoire.
Il eût cru s'abaisser servant un Médecin.
Etant devenu vieux, on le mit au moulin.
Son père l'Ane alors lui revint en mémoire.
Quand le malheur ne serait bon
Qu'à mettre un sot à la raison,
Toujours serait-ce à juste cause
Qu'on le dit bon à quelque chose.




divers


Bruno de Vulpian : "Plus loin que l'horizon", éditions Arcam, 40 rue de Bretagne, 75003 Paris
http://www.amazon.fr/Plus-loin-que-lhorizon-Po%C3%A8mes/dp/2864765640


Philippe Pichot-Bravard : "Le pape ou l'empereur : Les catholiques et Napoléon III"



http://www.editionstempora.fr/titres/le_pape_ou_lempereur_9782916053349_philippe_pichot-bravard_les_catholiques_et_napoleon_iii.asp


La 18e Marche pour la Vie aura lieu le samedi 11 octobre 2008 à Paris
http://www.renaissancecatholique.org/18e-Marche-pour-la-Vie.html


catégorie : LJ Michel de Rostolan
Créer un blog gratuit sur overblog.com - Contact - CGU .